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книги из ГПНТБ / Трудности перевода с французского языка (на материале математической лексики)

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ЛЕНИНГРАДСКИЙ ОРДЕНА ЛЕНИНА И ОРДЕНА ТРУДОВОГО КРАСНОГО ЗНАМЕНИ

ГОСУДАРСТВЕННЫЙ УНИВЕРСИТЕТ имени А. А. ЖДАНОВА

ТРУДНОСТИ ПЕРЕВОДА

С ФРАНЦУЗСКОГО ЯЗЫКА

(на материале математической лексики)

С о с т а в и т е л ь Р. А. Пашинина

ИЗДАТЕЛЬСТВО ЛЕНИНГРАДСКОГО УНИВЕРСИТЕТА ЛЕНИНГРАД 1974

Печатается по постановлению Редакционно-издательского совета Ленинградского университета

Цель пособия — закрепить изучаемый и повто­ рить ранее пройденный грамматический материал и расширить лексическую базу, необходимую для са­ мостоятельного чтения специальной литературы по математике и механике на французском языке.

Для составления 'пособия использованы работы

по математике и механике

известных французских

ученых Э. Бореля, П. Аппеля,

Г. Ламе, Э.

Пика­

ра, М. Жордана, А. Пуанкаре и др.

и сту­

Пособие предназначено

для

аспирантов

дентов старших курсов дневного, вечернего и заоч­ ного отделений математических факультетов универ­ ситетов, педагогических и технических вузов.

70 104-131

(С )

Издательство Ленинградского

255 -74

университета, 1974 г.

Т 076(02)—74

 

 

 

lère PA R T IE

CONDITIONNEL

1.Il est aisé de voir que la masse ne peut être négative, en

effet, selon le principe de

moindre action,

lorsqu’un point maté­

riel se déplace d’un point

1 à un point 2

de l’espace, l’intégrale

 

2

 

i

passe par un minimum. Supposons que la masse soit négative. Alors, pour une trajectoire le long de laquelle la particule com­ mence par s’éloigner rapidement du point 1 pour se rapprocher ensuite rapidement du point 2, l’intégrale d’action prendrait des^ valeurs négatives aussi grandes que l’on veut en valeur absolue." Autrement dit, elle n’aurait pas de minimum.

2.11 se pourrait d’ailleurs que certaines de ces conséquences aient un très grand caractère de nécessité. .

3.S’il était démontré que cette sixième condition est indépen­ dante des cinq autres, il y aurait lieu de chercher à la remplacer par une sixième plus simple et surtout de rechercher si parmi les systèmes de nombres qui satisfont seulement aux cinq premières

conditions il

n’y en

a pas d’aussi utiles que

celui

qui

va

être

étudié.

traversait

la courbe,

l’expression

trouvée

pour

4. Si l’axe

A représenterait non

la

surface totale,

mais la

différence

des

sur­

faces engendrées par les portions de la courbe situées de part et d’autre de l’axe, car dans l’intégrale A l’élément yds est positif ou négatif, suivant que l’élément ds est au-dessus ou au-dessous de l’axe.

5. Considérons d’abord le cas où il n’y aurait que deux points Mi, M2 et deux forces Fi, /Y, l’équilibre ne peut avoir lieu que si

les forces extérieures Fu F2, qui

agissent sur M\, Af2, sont égales

et directement opposées.

ensembles ont

même

puissance,

6. Au lieu de dire que deux

on dit aussi que leurs puissances sont égales,

de sorte

que nous

aurions pu exprimer le fait précédent en disant que deux puis­ sances égales à une même troisième sont égales entre elles.

7. Il est clair que la démonstration ne serait en rien modifiée si, au lieu de deux variables x, y, on en avait un nombre fini quelconque.

8. On

peut observer que

la

série

à

termes positifs

2cn

est

sûrement

divergente,

car,

si

elle était

convergente, il

en serait

de même

de la série

double 2 2 p„,s, ce qui est contradictoire

avec

les relations (9) d’après

lesquelles

on peut choisir dans cette

série des termes dont la somme dépasse

tout nombre assignable.

9. On

démontrerait de

même

que

l’on

peut effectuer, sur

des

■fonctions mesurables, les mêmes opérations que sur les fonctions

■intégrables, sans

cesser

d’obtenir des

fonctions

mesurables.

 

 

10. Si

la suite (U„) est convergente

et a une

limite

non

nulle

■et si la suite

( V„)

est divergente, la

suite

(U„Vn) est

également

divergente. Car,

si

elle

était convergente,

il en

serait

de

même

■de

U n V n

_

, /

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

U n

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

une

règle

de

11. Si,

pour une suite a.\, Ü2, ..., il existait un N et

calcul

qui à partir des valeurs ai....... aiv, conduiraient à

aN+i

et à partir de celle-ci à

toutes

les

valeurs

suivantes,

ce

serait

nier tout ce qui est essentiel dans une suite aléatoire.

logx

une

 

12. Il

ne saurait donc être question d’assigner

à

valeur principale de la forme Axa.

 

 

 

si y >

y 1, on

ne

 

13. La fonction F(y) est croissante. En effet,

saurait avoir

jc-s^x1, car,

d’après la

croissance de

f(x)

ceci

en­

traînerait f(x)^.f(x').

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

SUBJONCTIF DANS LES

PROPOSITIONS CIRCONSTANCIELLES

 

 

1. La

condition

nécessaire

et suffisante

pour

qu’une fonction

définie dans un intervalle fermé (a, b) et dérivable dans l’inter­ valle ouvert )a, b( soit décroissante au sens strict dans (a, b) est que sa dérivée ne soit pas positive dans )a, b( et ne s’y an­ nule qu’en des points isolés.

2. Nous allons d’abord montrer que, étant donné un ensemble infini quelconque, on peut toujours supprimer, parmi ses élé­ ments une infinité d’éléments formant un ensemble dénombrable, sans que l’ensemble cesse d’être infini.

3.Prenons sur une circonférence de rayon R une origine des

arcs A et marquons tous les points M tels que l’arc AM soit égal

à2anR.

4.Quels sont les ensembles tels que toute fonction continua

quby

est définie soit la restriction d’une fonction de la

classe Л?

5.

Nous pouvons numéroter

les points de cet

ensemble au

moyen des entiers positifs, de manière que deqx points différents

aient

deux numéros différents et que

chaque point ait

un numé­

ro unique.

 

 

6.Il convient encore de remarquer que les valeurs approchées,

àa près, de l’abscisse du point M sont ainsi définies avant que cette abscisse ait elle-même été définie.

7.On peut modifier légèrement l’image du n° 10 de manière qu’elle corresponde à ce nouveau point de vue.

8.Dans le cours de notre exposé, lorsque nous poserons des

questions quelles qu’elles soient, nous considérerons qu’un cer­ tain système de coordonnées est fixé.

9. Faisons une dernière remarque en ce qui concerne le calcul du tenseur d’inertie. Bien que nous ayons défini ce tenseur par rapport à un système de coordonnées ayant son origine au centre d’inertie (et c’est seulement avec cette définition que la formule fondamentale (32,3) est valable), il peut cependant apparaître plus commode de calculer d’abord le tenseur analogue défini par rapport à une autre origine O'.

10. L’équation du mouvement peut également être intégrer sous sa forme générale quelle que soit la force extérieure F(t).

11.Bien que la formule précédente soit évidente par ellemême, donnons-en une démonstration directe.

12.Quels que soient les points A, B, C sur l’axe, les gran­

deurs des segments AB, BC, AC

sont

bées

par

la

relation

AB + BC — AC\

nous appellerons

cette

relation identité

fonda­

mentale.

 

précédentes

nous

permettent

13. Pour que les considération

d’attacher une

intégrale à une fonction

f(x), il

faut que,

si petit

que soit e, nous puissions trouver les nombres U tels que, ou les

fonctions if,- correspondantes, ou les

XF* soient associés

à

des

ensembles mesurables.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

14.

Nous dirons qu’une fonction bornée ou non est mesurable

si, quels que soient a et P, l’ensemble

£ [a</(X )<p]

est

mesu­

rable. Lorsqu’il en est ainsi, l’ensemble

E[f(x) = a] est

aussi

me­

surable, car il est

la partie commune

aux ensembles

 

E[ah<

< f(x ) < a + h] quand h tend vers 0.

astatique

quand

il

subsiste

15.

On dit que l’équilibre est

quelle

que soit la position donnée

au

corps,

les hypothèses

sur

les forces étant les mêmes que dans le numéro précédent.

 

 

16.

Démontrons que le produit de la surface du triangle ABC

par le volume du

parallélépipède,

ayant

pour

arêtes

p,

q,

s,

est

constant, quelle que soit l’orientation du trièdre.

 

 

les

forces

17.

Que le polygone soit ouvert

ou

fermé,

si toutes

 

F, sauf les forces extrêmes F\ et £„, sont concourantes, la figure d’équilibre est plane, et les moments des tensions par rapport au point de concours des forces sont tous égaux.

18.Que le corps soit en équilibre ou non, la somme des tra­ vaux des forces de liaison est nulle pour tout déplacement com­ patible avec les liaisons.

19.Il en résulte que, si l’on considère, par exemple dans l’espace à trois dimensions, une infinité de points à coordonnées

toutes rationnelles,

on

obtient un ensemble dénombrable, quel

que soit le procédé par

lequel on a distingué cette infinité de

l’ensemble

de tous

les

points à coordonnées toutes rationnelles.

20. Ce

théorème

est

une conséquence

de

la

définition

des

nombres incommensurables et, à quelque

point de

vue

que

l’on

se place, postule la notion du continu.

 

 

 

 

 

 

 

21. Le rapport

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

~ t‘ n + —

• • • Z U n k

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

П (1 + un~j

 

 

 

 

 

 

 

tend

aussi

vers zéro, quel

que

soit le

nombre

fini

k\

on

en

con-

d u t

que

le

produit

n «*m

 

(B. . .) tend

vers

zéro quel

que soit le

П

 

nombre

 

 

Л=1

m

augmente

indéfiniment.

 

 

 

 

fixe k, lorsque

 

 

 

 

22.Quelle que soit la fonction arbitraire q>(a), les courbes définies par les équations (3) et (4) auront en commun les points définis, pour chaque système de valeurs de a et b, par les équ­ ations (5).

23.Ces quatre équations devront donc avoir une solution commune en x, y, z, quel que soit a.

24.D’autre part, quelle que soit la manière dont h tend vers zéro, ce rapport tend vers une limite bien déterminée.

25.Quelle que soit la fonction f(x), nous pouvons toujours calculer ses primitives avec une approximation aussi grande que

nous le voulons, puisque nous savons évaluer de cette manière

X

pour

n’importe quelles valeurs de

Xp

l’intégrale définie j f(t)d t

*0

ainsi

que nous entendons résoudre

la

et x. Mais ce n’est pas

question.

26. Quel que soit le nombre m' plus grand que m, il existe au

moins un nombre de l’ensemble (E)

qui est plus petit que m;

il

en existe une infinité, si voisin que m' soit de m, lorsqu’il n’y

a

pas dans (E) un

nombre qui soit plus petit que tous les autres.

 

 

INFINITIF

 

 

 

(Propositions

infinitives correspondant aux propositions

 

 

 

complétives)

 

 

1.

En 1842 Arago crut avoir

trouvé un

procédé capable

d’éli

miner l’équation personnelle.

propriétés

les plus complè­

2. Ce théorème semble contenir les

tes établissant la liaison entre une grandeur aléatoire et ses réa­ lisations, pourvu qu’au cours de ces réalisations elle reste inva­

riante.

devoir

préciser ce que l’on doit entendre par

3. Cauchy crut

le nombre S(x)

de la

démonstration précédente (c’est-à-dire

qu’il crut devoir définir l’aire d’une façon précise).

fi

4.Les ensembles ayant même puissance que l’ensemble C seront dits avoir la puissance du continu.

5.Ces savants se figurent avoir tout dit.

6.De même, si l’on mène par le point A une droite Am" égale et parallèle à A"M", on obtient la position m" où le point mobile

semble être venu se placer à la fin du temps t"

et ainsi

de

suite.

7. Pour certaines applications des intégrales

définies,

il

semb­

lait y avoir avantage à définir l’intégrale d’une fonction qui. tout en restant finie, est discontinue en certains points. Aussi, dès l’introduction de la notion d’intégrale définie, a-t-on étendu cette notion à certaines fonctions discontinues.

8. Nous disons qu’on peut empêcher

un corps de tomber

en

le soutenant par un point spécial appelé

centre

de

gravité,

l’action de la pesanteur paraît être concentrée.

On

trouve ainsi

que le centre de gravité d’un cercle est au centre géométrique de

cette surface, que celui d’un rectangle est au

point de rencontre

des diagonales, et celui du triangle

au

point

de

rencontre

des

médianes.

pas

de voir

les espaces

de

9. Le lecteur ne s’étonnera donc

jets et les faisceaux apparaître en calcul des variations. Ces

objets

interviennent dans toute question

où l*on passe du local

au global

suivant un processus

dont

le

mécanisme

est exposé

au § 1.

On

voit donc, dès le début

du

calcul intégral,

s’introduire

10.

au moyen de l’intégration un nombre illimité de fonctions nou­ velles.

IL Ici encore, comme dans la théorie des séries, on comparera l’intégrale à étudier à une autre que l’on sait avoir une limite.

INFINITIF

(Propositions infinitives correspondant aux propositions circonstantielles)

1. Après avoir montré qu’il existe des plans et des droites parallèles, nous allons étudier quelques-unes de leurs propriétés.

2.A partir de 1820 Ampère après avoir été tour à tour ma­ thématicien, philosophe et chimiste, s’était surtout consacré à la Physique.

3.Après avoir obtenu l’équation de la trajectoire sous cette

forme, nous pouvons facilement nous représenter la trajectoire même.

4.Pour faire la preuve de la multiplication, on peut recom­ mencer l’opération après avoir inverti l’ordre des facteurs: le produit ne doit pas varier.

5.Avant d’aborder la solution du problème ainsi posé, nous ferons une remarque de caractère purement technique.

6.De même que les équations de Lagrange et les équations canoniques l’équation de Hamilton—Jacobi constitue le point de

départ d’une méthode générale d’intégration des équations du mouvement. Avant d’exposer cette méthode, rappelons que toute équation aux dérivées partielles du premier ordre possède une solution dépendant d’une fonction arbitraire; cette solution est appelée intégrale générale de l’équation.

7. Mais avant d’aborder ces difficiles questions et aussi celle de savoir si l’on peut se donner des ensembles par un procédé différent de celui que nous avons indiqué, il ne sera pas inutile d’étudier les ensembles qui ont même puissance que l’ensemble

Edes nombres entiers positifs.

8.Avant de donner la démonstration de ce lemme, montrons qu’il entraîne le précédent.

9.Pour déterminer la position d’un système de N points ma­

tériels dans l’espace, il faut se donner N rayons vecteurs, c’est- à-dire 3N coordonnées.

10. Le problème très important du mouvement d’un système composé de deux particules réagissant l’une sur l’autre («pro­ blème des deux corps») admet une solution générale complète. Pour résoudre ce problème nous allons tout d’abord montrer qu’on peut le simplifier considérablement, en décomposant le mouve­

ment du système en deux mouvements : celui

du

centre d’inertie

et celui des points par rapport à ce dernier.

 

 

11.

Si l’on remplit un sac avec du blé, on sait que plus on met

de blé

dans le sac, plus l’effort

à faire pour

le

soulever sera

grand.

D’une façon générale, la preuve d’une opération est une

12.

seconde opération que l’on fait

pour s’assurer

de

l’exactitude de

la première.

 

 

 

13.Afin d’ajouter une somme, on peut ajouter successivement chacun de ses termes.

14.Pour démontrer l’existence des fonctions primitives des fonctions continues, il suffit de reprendre la démonstration géo­ métrique indiquée précédemment.

15.Afin de commencer par le problème le plus simple, on

étudie

d’abord

le

mouvement d’une

portion de

matière

assez

petite

pour qu’on

puisse déterminer

sa position

comme

celle

d’un point géométrique.

 

 

 

16.

Les ensembles de convergence absolue sont définis par la

propriété qu’une série peut y converger absolument sans

être

partout absolument convergente.

l’ensemble

des ensembles

17.

On peut

en

effet sans sortir de

mesurables effectuer sur des ensembles mesurables les deux opé­

rations suivantes :...

18.Nous admettrons que l’ensemble E des nombres compris entre 0 et 1 nous est donné, sans rechercher comment il pourrait l’être effectivement.

19.A l’heure actuelle, où la Théorie des fonctions réelles —

non sans avoir perdu un peu de son charme de première jeunes­

se — a cessé d’être une science «nouvelle», il paraît superflu d’en discuter ici l’importance.

20. L’énergie cinétique du système à un instant est le travail utile maximum qu’il est possible de se procurer en n’utilisant que les vitesses acquises à cet instant par les différents points du système, sans utiliser aucune des forces intérieures qui le sollici­ tent.

21.Et les nombreuses branches de l’Analyse, à n’en citer que l'analyse harmonique.équations intégrales etc., n’ont perdu point leur élégance là où elles se sont inspirées des méthodes de la théorie des fonctions réelles.

22.A analyser ce raisonnement, on dirait que les fonctions prises... sont réelles.

23.On peut faire passer un terme d’un membre d’une équa­

tion dans l’autre membre, à condition de changer son signe.

24. Afin de simplifier cette équation, nous nous efforcerons de choisir l’angle a de façon à éliminer le terme comprenant le

produit

des coordonnées

courantes, autrement

dit

de

façon

que

B = 0.

 

 

 

 

 

 

25.

La surface étant

fixe, les expressions

de x,

y,

z en

fon­

ction de qi et q2 peuvent être choisies de façon à ne pas contenir explicitement /.

26. Dans ce

cas,

on

peut toujours ajouter au

système

deux

forces, de façon à réaliser l’équilibre astatique.

 

 

27. Lorsque

le

point

décrit effectivement

un plan

(plan

central), on peut ajouter trois forces, de façon à

établir

l’équi­

libre astatique.

 

 

 

 

 

28. Mais, bien entendu, on doit toujours, autant que possible, faire son choix de manière à obtenir les calculs les plus simples.

29.

Faisons tourner

la demi-tangente de

, de manière à

obtenir

la demi-normal

positive MY.

Si

MY

est dirigée vers

Faire A, celle-ci sera positive, sinon,

elle sera

négative.

30.

Soient maintenant une surface

5

non homogène et M un

de ses points. Découpons un petit morceau de 5 comprenant M; soient AA et Am son aire et sa masse. Le quotient est la

densité superficielle moyenne du morceau considéré. Supposons maintenant que celui-ci tende vers zéro dans toutes ses dimen­ sions, de manière à se réduire finalement au point M. (On entend par là, d’une manière précise, qu’il doit pouvoir être enfermé dans une sphère de centre M et dont le rayon tend vers zéro. 11 ne suffit pas que Faire AA tende vers zéro, ce qui pourrait arriver en supposant qu’elle prenne une forme allongée, mais infiniment

mince, de façon à se réduire à la limite

à un

petit

arc

passant

par M. Dans ce cas la limite dépendrait

du

choix

de

ce petit

arc.)

 

 

 

 

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