книги из ГПНТБ / Трудности перевода с французского языка (на материале математической лексики)
..pdf1. Comme nous l’avons déjà vu, la fonction de Lagrange ne
dépend dans ce cas que du carré du vecteur vitesse. |
de |
liberté, |
||||
2. Pour |
un système mécanique fermé à |
s degrés |
||||
le nombre |
d’intégrales du |
mouvement |
indépendantes |
est |
égal à |
|
2 s— 1. Des considérations |
simples le |
montrent avec |
évidence. |
|||
3. Les |
conditions précédentes supposées |
vérifiées |
par |
A, B, |
le seront par chacune de ces expressions.
4. Nous avons su reconnaître si deux segments étaient égaux
ou inégaux. Dire que deux segments sont inégaux, |
c’est donner |
||||||||||
un renseignement assez vague. On |
peut essayer |
de |
le préciser. |
||||||||
5. Maintenant, si l’on remarque que E et e sont |
réductibles en |
||||||||||
même temps |
(il faut bien remarquer que e peut être dénombrable, * |
||||||||||
sans que |
E |
le |
soit, |
e |
est alors |
un |
ensemble |
dénombrable non |
|||
réductible; c’est |
le |
cas de l’ensemble des nombres |
rationnels), |
||||||||
on voit |
que, |
pour que la définitive adoptée s’applique, il faut et |
|||||||||
iil suffit |
que |
l’ensemble |
des points |
de |
discontinuité |
de la fonction |
|||||
, à intégrer f(x) |
soit |
réductible et |
qu’il existe |
une |
fonction F(x) |
||||||
vérifiant |
|
(1) |
dans les |
intervalles |
où |
f(x) est |
continue. |
||||
6,. On |
peut aussi |
couvrir (a, b) à |
l’aide d’un nombre fini des |
intervalles Л et le théorème, étant évidemment vrai quand on ne considère que ces intervalles en nombre fini, l’est à fortiori quand on considère tous les intervalles A.
7. Quand les vecteurs sont portés sur une même droite indé finie, comme le sont, par exemple, les projections de divers vec teurs sur l’axe Ox, on leur donne le nom de segments.
PRONOM ADVERBIAL «EN»
1. La molécule peut effectuer des mouvements de translation et de rotation. Au mouvement de translation correspondent trois degrés de liberté. En général, il en existe autant pour la rotation, de sorte que des 2>n degrés de liberté d’une molécule à n atomes 3n — 6 correspondent à un mouvement vibratoire.
2. Nous ne savons pas si l’on peut définir, ni même s’il existe
d’autres ensembles |
que |
les |
ensembles mesurables; s’il an existe, |
||||
ce qui est dit dans |
le |
texte ne |
suffit pas |
pour |
affirmer ni que |
||
le problème de la mesure |
est |
possible, |
ni |
qu’il |
est impossible |
||
pour ces ensembles. |
|
|
de tous ces éléments est dénombrable; |
||||
3. Je dis que l’ensemble |
|||||||
il suffit pour nous en convaincre de poser |
|
|
|
||||
£/1= 5 з*-2, |
Vx— S-a-i, |
= -Ян• |
|
4. L’ensemble A renfermant au moins 2n éléments, nous pouvons en choisir 2«i et parmi ces 2ri[ en désigner un par u.\. L’ensemble A renfermant au moins 2n2 éléments, nous pouvons en trouver 2(n2—tii) ne faisant pas partie des 2nx.
5.La plus simple des lignes est la ligne droite, un fil tendu nous en offre l’image.
6.Nous allons montrer comment on peut réduire à des élé
ments simples un ensemble de forces |
appliquées à |
un |
solide et |
en déduire les conditions nécessaires |
et suffisantes |
d’équilibre. |
|
7. L’étude de la composition des |
vecteurs nécessite |
l’emploi |
du théorème des projections. Nous en rappellerons donc la dé monstration en l’empruntant, comme celle du théorème relatif à la propriété fondamentale des segments, au Cours de Géométrie analytique.
8. Chaque terme de la somme des travaux élémentaires 2 .. - est alors une différentielle exacte; la somme elle-même en est une.
9. On remarquera enfin que tout réseau qui couvre l’espace se compose d’une infinité dénombrable de cubes et tout réseau couvrant un cube n’en compte qu’un nombre fini.
10. |
Ce dernier théorème se déduit du |
théorème de Rolle |
qui |
|||
en est un cas particulier: celui où f(a ) = f( b ) = 0. |
|
|||||
IL A toute valeur de y comprise entre b et b' correspond une |
||||||
valeur |
bien |
déterminée pour x. |
En |
effet, |
il en correspond |
au |
moins une, |
d’après le corollaire du théorème de Cauchy. |
|
||||
|
|
PRONOM ADVERBIAL «Y» |
|
|||
1. |
11 est |
plus facile au point |
de |
vue |
mathématique d’opérer |
avec des facteurs exponentiels qu’avec des facteurs trigonométriques, puisque la différentiation ne change pas leur forme. Par
suite, tant que nous n’effectuons |
que des |
opérations |
linéaires |
(addition, multiplication par |
coefficients |
constants, |
différen |
tiation, intégration), on peut laisser de côté |
la partie réelle pour |
||
n’y revenir que dans le résultat final des calculs. |
|
2.Puisque les équations du mouvement s’obtiennent à partir du principe de mpindre action en variant chacune des coordon nées indépendamment (c’est-à-dire les autres étant considérées comme connues), nous pouvons, pour trouver la fonction de La grange La du système A, utiliser la fonction de Lagrange L du système entier A + B en y remplaçant les coordonées qB par des fonctions données du temps.
3.Toute droite qui a deux points dans un plan y est contenue
toute entière.
4.La signification, la nécessité et les conséquences des cinq premières conditions de ce problème d’intégration sont à peu près évidentes; nous ne nous y étendrons pas.
5.Supposons que l’on ait démontré l’impossibilité de l’exi stence de deux classes différentes d’êtres satisfaisant aux condi
tions indiquées et que, de plus, on ait démontré la compatibilité de ces conditions en choisissant une classe d’êtres y satisfaisant; cette classe d’êtres sera la seule définie, de sorte que la défini tion constructive qui a servi à effectuer le choix est exactement équivalente à la définition descriptive donnée.
6. Pour éviter toute difficulté, chaque fois que nous voudrons définir une fonction inverse nous choisirons l’intervalle de varia
tion |
(a, |
a') de telle manière que la fonction f(x) |
qui |
sert de |
point |
de |
départ y varie constamment dans le même sens. |
||
7. |
Si |
la fonction z est continue dans la région |
(R), |
supposée |
finie, elle y atteint une limite supérieure M et une limite infé rieure m.
tout (adjectif)
1.Le fait que l’énergie potentielle dépend seulement de la distribution des points matériels au même instant, a pour consé quence qu’un changement de position de l’un d’entre eux se répercute instantanément sur tous les autres
2.Dans un système de référence galiléen, tout mouvement libre s’effectue avec une vitesse constante en grandeur et en direction.
3.La rotation du système modifie non seulement la direction des rayons vecteurs, mais aussi les vitesses de toutes les parti
cules, tous les vecteurs se transformant suivant une même |
loi. |
4. Tout mouvement qui s’effectue selon les lois de la méca |
|
nique classique est réversible. |
fermé |
5. Puisque les équations du mouvement d’un système |
ne contiennent pas le temps explicitement, on peut choisir toute origine des temps que l’on veut, et l’une des constantes arbitrai res dans la solution des équations peut toujours être choisie sous forme d’une constante additive ta au temps.
6. La formulé la plus générale de la loi du mouvement des systèmes mécaniques est fournie par le principe dit de moindre action (ou principe de Hamilton); selon ce principe, tout système mécanique est caractérisé par une fonction définie:
L (?., q-i, .... q„ qu q%, ■■. , qs, t)
ou plus brièvement L(q, q, t), le mouvement du système satisfai
sant à la condition suivante. |
et |
r |
sont |
perpendiculaires entre |
||||||
7. |
Puisque les vecteurs M |
|||||||||
eux, la constance de M signifie que |
pendant tout le |
mouvement |
||||||||
de la particule son rayon vecteur |
reste dans |
un |
même plan, |
per |
||||||
pendiculaire à AL |
|
|
point |
est |
plus |
courte |
que |
|||
8. La perpendiculaire issue d’un |
||||||||||
toute oblique. |
|
|
sur |
une corde |
partage |
la |
||||
9. |
Tout diamètre perpendiculaire |
|||||||||
corde |
et |
les deux arcs qu’elle |
sous-tend |
en |
parties |
égales. |
|
|||
10. On donne le nom de force à |
toute cause qui peut mettre |
|||||||||
un corps |
en mouvement ou modifier |
le mouvement d’un corps. |
11.On appelle diamètre toute corde qui passe par le centre. Tout diamètre vaut deux fois le rayon.
12.Ainsi, toute cause susceptible de provoquer la sensation d’effort est une force.
13. On appelle grandeur tout ce qui est susceptible d’être augmenté ou diminué.
14. L’addition de plusieurs nombres entiers est l’opération qui a pour but de grouper en un seul nombre toutes les unités con tenues dans les nombres considérés.
15.Par définition même est dénombrable tout ensemble dont chaque élément est affecté d’un indice, les indices prenant toutes les valeurs entières et positives.
16.Tout produit d’un nombre fini ou d’une infinité d’ensemb les fermés, de même que toute somme d’un nombre fini de tels ensembles, est encore un ensemble fermé.
17.Toute fonction limite de polynômes est aussi mesurable; donc, d’après un théorème de Weierstrass, toute fonction continue est mesurable.
meme (adjectif, adverbe)
I; En définitive, pour nous donner l’ensemble U, nous çommes partis d’un ensemble E, de même puissance que U, supposé donné.
2. L’ensemble de ces points a manifestement même puissance que l’ensemble donné, d’après la manière même dont on l’a obtenu.
3.Les forces, devant se faire équilibre, sont dans un même
plan.
4.Cette condition paraît si peu nécessaire qu’elle est géné
ralement inconnue, même pour le cas où f et /„ sont intégrables au sens de Riemann ou même continues.
5. Une différence ne change pas si l’on augmente ou si l’on
diminue ses deux ternies d’un même nombre. |
l’arc qu’il dé |
|
6. D’une façon générale, un angle au centre et |
||
coupe sont |
mesurés par le même nombre de grades ou le même |
|
nombre de |
degrés. C’est pour cette raiçon qu’on |
a donné les |
mêmes noms aux unités d’angles et aux unités d’arcs.
7.Deux surfaces sont dites équivalentes quand elles ont même
aire.
8.Les lois de conservation de l’impulsion et de l’énergie per
mettent déjà par elles-mêmes d’aboutir, dans de nombreux cas à une série de conclusions importantes quant aux propriétés de divers processus mécaniques.
9. L’hypothèse d’un temps absolu est à la base même des repré sentations de la Mécanique classique.
10. Puisque les atomes des isotropes interagissent de la même
façon, k = k'.
MISE EN RELIEF21
1. Il faut souligner que c’est seulement compte tenu de cette propriété que la définition donnée de la masse acquiert un sens
réel.
2. C’est seulement dans le cas où le système dans son en-
semble est au repos (c’est-à-dire- P = 0) que son moment ne dépend pas du choix de l’origine des coordonnées. 11 est évident que cette indétermination de sa valeur n’influe pas sur la loi de conservation du moment puisque, pour un système fermé, l’im pulsion se conserve aussi.
3. Par conséquent, ce n’est pas construire |
une série d’une |
façon vraiment artificielle que de la donner en |
choisissant S„ |
au lieu de Un. |
|
4.Si un corps en mouvement s’arrête, c’est que certaines for ces agissent sur lui.
5.C’est donc énoncer une propriété supplémentaire de l’en semble que d’écarter cette alternative.
6.C’est en partant du développement que l’on construit cer
tains cylindres creux tels |
que les boîtes à |
conserves, les |
tuyaux |
||
de poêle, etc. |
|
|
|
le plus |
souvent |
7. Ce sont les définitions constructives qui sont |
|||||
employées en Analyse; cependant on se sert parfois de |
défini |
||||
tions descriptives. |
étant |
un ensemble mesurable, en appliquant |
|||
8. Un intervalle |
|||||
les opérations I et |
II un |
nombre fini de |
fois à |
partir |
d’inter |
valles, nous obtenons des ensembles mesurables; ce sont ceux-là que M. Borel avait nommés ensembles mesurables.
9. Beaucoup d’analystes mettent en premier rang la notion du
continu; c’est elle qui intervient d’une manière plus |
ou moins |
|||||||||||
explicite dans leurs raisonnements. |
|
|
|
|
|
|
||||||
10. Le théorème de M. Cantor revient donc au suivant, et c’est |
||||||||||||
sous cette forme qu’il a été énoncé |
par |
son |
auteur. |
L’ensemble |
||||||||
des points intérieurs |
au carré a |
même puissance |
que |
l’ensemble |
||||||||
des points compris entre 0 et |
1. |
|
|
|
|
|
|
|
||||
|
|
|
|
I l è m e P A R T I E |
|
|
|
|
|
|||
1. |
Soit |
l’équation |
x2 + y2 + 1=0. |
Etant donné |
que |
pour tous |
||||||
x et |
y |
réels |
les nombres |
x2 |
et |
y2 |
ne |
sont |
pas négatifs, |
|||
x2+y 2+ 1> 0, il |
n’existe pas |
un |
seul |
point dont |
les |
coordonnées |
||||||
puissent satisfaire à l’équation donnée |
|
|
|
|
|
2. Nous allons déduire ici une formule permettant de. calculer l’angle formé par deux droites dont on connaît les coefficients angulaires (étant entendu qu’aucune d’elles n’est perpendiculaire à l’axe Ox).
3. Soit une ellipse quelconque de foyers F\F2. Appliquons sur le plan un système de coordonnées cartésiennes orthogonales aux axes duquel nous donnerons une disposition particulière; plus précisément, nous prendrons pour axe des abscisses la droite FXF2, la considérant comme orientée de Fi vers Ег,-l’origine des coordonnées étant fixée au milieu du segment FXF2.
4. L’équation |
y2 — —2px |
(p étant positif) se réduit |
à |
l’équa |
tion y2 = 2px en |
remplaçant |
x par —x, autrement dit |
par |
trans |
formation des coordonnées consistant à inverser l’orientation de-
l’axe Ox. |
|
|
|
|
|
|
|
|
|
5. Lorsque le corps se meut, il y a en général variation aussi |
|||||||
bien de la valeur absolue de Q que de la direction de |
l’axe |
de |
||||||
rotation. |
|
|
|
|
(42, |
23), tous, |
||
les |
6. Ainsi, dans le premier membre de l’égalité |
|||||||
termes |
à |
dérivées secondes |
de f |
s’annulent |
réciproquement,, |
|||
et |
puisqu’ |
il |
en est évidemment |
de |
même pour |
les fonctions |
g |
|
et h, l’expression entière est identiquement nulle. |
|
|
|
7.Par définition, la dérivée totale de l’action par rapport au temps le long de la trajectoire est égale à d s — L.
8.Le mouvement d’un système mécanique est complètement déterminé par le principe de moindre action : en résolvant les
équations du mouvement qui découlent de ce principe, on peut trouver aussi bien la forme de la trajectoire que la relation entre une position sur cette trajectoire et le temps correspondant.
9. Si l’on s’en tient à la question plus restreinte de la déter
mination de la seule trajectoire |
(laissant de |
côté la |
partie tem |
|
porelle du problème), il est possible alors de |
donner |
au |
principe |
|
de moindre action une forme simplifiée. |
degrés |
de |
liberté |
|
10. Considérons un système |
à plusieurs |
effectuant un mouvement fini, par rapport à toutes les coordon nées. Supposons que le problème admette une séparation com plète des variables dans la méthode de Hamilton—Jacobi. Cela, signifie que pour un choix convenable des coordonnées, l’action raccourcie est égale à la somme
|
S0 = 2i S,(?i>. |
|
|
|
|
chacune de ces fonctions dépendant |
d'une seule coordonnée. Les |
||||
impulsions généralisées |
|
dS |
dS- |
des |
fon |
étant p i = g ^ = |
^ , chacune |
||||
ctions Si peut s’écrire |
S» = fPidqi. |
Ces |
fonctions ne |
sont |
pas |
uniformes. Le mouvement du système étant fini, chaque coordon née ne peut prendre que des valeurs comprises dans un inter valle fini déterminé.
11. Le choc de particules de même masse (dont l’une est ini tialement au repos) s’exprime de façon particulièrement simple.
12.Déterminer les oscillations forcées du système dues à une force F(t), dans les cas suivants.
13.Des considérations physiques rendent évident a priori le
caractère réel et positif des racines |
de l’équation |
(23,4). |
||
14. La question se pose'naturellement de savoir s’il n’est pas |
||||
possible d’exprimer |
les coordonnées |
généralisées |
de |
telle façon |
que chacune d’elles |
accomplisse une |
seule oscillation |
simple. La |
forme même de l’intégrale générale (23,5) indique le moyen de résoudre ce problème.
15. En effet, en considérant les s relations comme un système
d’équations à s inconnues 0 a, |
nous pouvons, |
en |
résolvant ce |
|
■système, exprimer |
les quantités |
©i, 6 2........ 6 * |
en |
fonction des |
coordonnées Xi, x2, |
..., xs. |
|
|
|
16.Outre les mouvements constitués par les oscillations des atomes autour de leur position d’équilibre à l’intérieur de la molécule, celle-ci peut effectuer elle-même des mouvements de translation et de rotation. Au mouvement de translation corres pondent trois degrés de liberté.
17.Dans bien des cas cependant, le frottement est suffisam ment faible pour qu’on puisse négliger complètement son influen ce sur le mouvement.
18.Nous pouvons dès maintenant tirer quelques conclusions quant à la forme de la fonction de Lagrange pour un point maté riel se déplaçant librement dans un système de référence galiléen.
L’uniformité de l’espace et du temps signifie |
que |
cette |
fonction |
||||
ne peut contenir explicitement ni le rayon vecteur |
r |
du |
point, |
ni |
|||
le temps |
t; |
autrement dit, L ne sera fonction que |
de |
la |
vitesse V. |
||
Du fait |
de |
l’isotropie de l’espace, la fonction |
de |
Lagrange |
ne |
peut dépendre non plus de la direction du vecteur V, de sorte qu’elle n’est fonction que de sa valeur absolue.
19. Si le système de référence K' est celui dans lequel le sys
tème mécanique donné est au repos dans |
son ensemble, V |
est |
||
alors la vitesse du centre d’inertie de ce |
système, et |
pV |
son |
|
impulsion totale P (par rapport à K'). Par suite |
|
|
||
M — |
RP. |
|
|
|
20. La multiplication de la |
fonction de |
Lagrange |
par |
un |
facteur constant quelconque ne change évidemment pas les équa tions du mouvement. Grâce à cette circonstance il est possible, dans de nombreux cas importants, de tirer plusieurs conclusions quant aux propriétés du mouvement, sans intégrer les équations.
21.La loi de conservation n’est valable pour les trois compo santes du vecteur impulsion qu’en l’absence de champ extérieur.
22.Le mouvement d’un système à un degrés de liberté est dit
linéaire.
23.De même que l’énergie potentielle U, la force ne dépend que des coordonnées des particules et non de leur vitesse.
24.La loi de conservation de l’énergie est valable non seule ment pour les systèmes fermés, mais aussi pour les systèmes placés dans un champ extérieur constant (c’est-à-dire ne dépen dant pas du temps); en effet, la seule propriété de la fonction de Lagrange que nous avons utilisée dans nos raisonnements, à
savoir le fait qu’elle ne dépend pas explicitement du temps, reste valable dans ce cas. Les systèmes mécaniques dont l’éner gie se conserve sont parfois appelés conservatifs.
. 25. La position d’un point materiel dans l’espace est déter minée par son rayon vecteur r, dont les composantes coïncident avec ses coordonnées cartésiennes x, y, z.
26. Soit un système mécanique composé de deux parties A et B. dont chacune, étant fermée, aura respectivement pour fon
ction de Lagrange |
les |
fonctions LA et Lb. Si alors on éloigne |
ces parties l’une |
de |
l’autre suffisamment pour que leur inter |
action devienne négligeable, la fonction de Lagrange du système tendra vers la limite limZ. = LA+ LB.
27.Puisque l’énergie cinétique est une grandeur essentielle ment positive, lors du mouvement l’énergie totale est toujours supérieure à l’énergie potentielle.
28.En ramenant le problème du mouvement de deux corps à celui d’un seul, nous avons été conduits à la question suivante: déterminer le mouvement d’une particule dans un champ exté
rieur |
où son énergie |
potentielle dépend |
seulement de |
la |
distance |
|||
r à |
un |
point immobile donné; un tel |
champ est |
dit |
central. |
|||
29. |
L’exemple le |
plus important |
de |
champ |
central |
est celui |
d’un champ dans lequel l’énergie potentielle est inversement pro portionnelle à r et, respectivement, les forces sont inversement
proportionnelles |
à r2. |
C’est |
le cas, par exemple, du champ |
de |
|
gravitation |
newtonien |
et du champ électrostatique de Coulomb; |
|||
le premier |
est, |
comme |
on le |
sait, un champ d’attraction et |
le |
second peut être aussi bien un champ d’attraction que de répul
sion. |
Considérons |
d’abord |
un |
champ |
d’attraction |
dans lequel |
|||
U = |
, |
la constante |
a étant positive. |
|
|
||||
30. |
Il |
est |
clair |
d’après |
(15,4) |
que |
si E < 0, |
l’excentricité |
|
e < \ . |
c. à. d. què l’orbite est une ellipse et le mouvement, comme |
||||||||
nous l’avons |
dit |
au |
début du |
paragraphe, est fini. Selon les |
formules connues de la géométrie analytique les grand et petit
demi-axes de l’ellipse sont...
31.Des calculs tout à fait analogues nous conduisent aux résultats suivants pour des trajectoires hyperboliques.
32.Soulignons que l’intégrale première (15,17), de même que
les intégrales M et E, est une fonction uniforme |
de |
l’état (posi |
tion et vitesse) de la particule. Nous verrons |
au |
paragraphe |
suivant que l’apparition de cette intégrale uniforme supplémen taire est due à ce qu’on appelle la dégénérescence du mouvement.
33. |
Dans |
les |
applications physiques |
on |
a |
habituellement |
||
affaire |
non |
plus à |
la désintégration d’une particule, mais à celle |
|||||
de nombreuses particules identiques, ce |
qui pose alors le pro |
|||||||
blème de la répartition des particules |
résultantes |
suivant |
les |
|||||
directions, les énergies, etc. Nous supposerons dans |
ce cas |
que |
||||||
les particules initiales sont orientées |
dans |
l’espace |
chaotique |
|||||
ment, c’est-à-dire qn moyenne de façon isotrope. |
relations |
pos |
||||||
34. |
Pour |
V0< V |
il faut tenir compte |
des |
deux |
|||
sibles entre 0Oet 0. |
|
|
|
|
|
|
\
35. En vertu de la loi de conservation de l’impulsion, après le choc, les impulsions des deux particules restent égales en gran deurs et opposées en dir'ection.
36. Là se limitent les renseignements que l’on peut obtenir sur les chocs en partant des seules lois de conservation de l’im pulsion et de l’énergie. Ее ce qui concerne sa direction, le vecteur n dépend de la loi d’interaction des particules et de leur position réciproque pendant le choc.
37. Les méthodes de mesure et de calcul des Egyptiens étaient cependant trop rudimentaires pour qu’ils aient pu étudier de manière précise le mouvement des astres. Ils ont dû faire pour tant quelquefois des observations relativement précises: nous le
savons d’après l’orientation de certains |
monuments; |
ainsi |
les |
|
côtés des bases de Pyramides sont |
orientés Nord-Sud |
et |
Est- |
|
Ouest à moins d’un demi-degré près. |
un |
système de solution, je |
||
38. Désignant par 0= Oo, 0' = 0</ |
pose, pour abréger, ... et j’en conclus que chacune des différen
ces |
x — a et |
y — b devant |
s’évanouir |
pour |
0 = 0o |
et |
0' = |
0o', |
|||
nous |
aurons |
en |
désignant par Ф(0) ... |
des |
polynômes |
en |
0 de |
||||
degré n — 2, |
le système suivant. |
|
|
|
|
|
|
||||
39. |
Pour |
parvenir à une telle évaluation |
on n’a |
qu’à |
partir |
||||||
de la |
relation (1) qui s’ensuit facilement |
du |
système |
(2) |
et |
d’en |
|||||
tirer |
l’inégalité |
(3) qui conduit à l’évaluation requise |
pour |
M. |
|||||||
40. |
L’expérience montre que la machine ne crée pas de l’éner |
||||||||||
gie, |
mais qu’elle |
transforme |
l’énergie qu’elle reçoit, ce qui |
revient |
à dire qu’on ne peut créer de l’énergie ni détruire une énergie existante: c’est le principe de la conservation de l’énergie qui a toujours été vérifié.
41. Quelque |
petit que. soit |
le nombre donné à l’avance e, on |
peut prendre le |
nombre r assez |
grand pour vérifier l’inégalité (8). |
42.Soit à répartir une masse totale égale à l’unité dans l’intervalle donné.
43.Deux droites sont dites perpendiculaires entre elles quand
un des angles qu’elles forment est droit.
44. |
Pour démontrer l’égalité de |
deux |
triangles |
quelconques, |
il suffit |
de montrer qu’ils satisfont |
à l’un |
des trois |
cas d’égalité |
que nous venons d’énoncer. Ayant établi que deux triangles sont égaux, on en déduit que les angles opposés aux côtés égaux sont égaux et réciproquement.
45.L’aire d’un trapèze est le demi-produit de la somme des longueurs des bases par celle de la hauteur.
46.L’aire totale d’un cylindre de révolution s’obtient en ajoutant au double de l’aire d’une base l’aire d’un rectangle dont les côtés ont pour longueur le périmètre d’une base et la hauteur
du cylindre.
47. A la suite d’observations et de raisonnements les hommes se sont peu à peu persuadés que la Terre était ronde, c’est-à-dire
que si l’on fait abstraction des irrégularités dues à son relief, sa surface était sensiblement une sphère.
48.La demi-droite est illimitée dans un sens.
49.La droite est illimitée dans les deux sens.
50.Par un point A passent autant de droites que l’on veut.
51. |
Soient deux segments AB et |
CD tels que AB soit inférieur |
à CD. |
Pour désigner un angle on |
écrit (l’ordre des côtés n’im- |
52. |
||
|
|
/ ч |
porte pas): angle xOy, en abrégé: xOy, ou en abrégeant encore
plus (si aucune confusion n’est à craindre) : O.
53. La longueur du cercle de rayon 4 cm est à peu près le double de la longueur du cercle de rayon 2 cm; il en est de même pour la longueur des cercles de rayon 6 cm et 3 cm. Nous pouvons nous demander si la longueur d’un cercle n’est pas pro portionnelle au rayon; s’il en est ainsi, elle sera aussi proportion nelle au diamètre.
54. Une calotte sphérique est une portion de la surface de la sphère limitée par un plan sécant. C’est une zone à une base. Une calotte sphérique limitée par un grand cercle est une hémis phère.
55. Pour être valables en tout temps et en tout |
lieu, les |
uni |
tés choisies doivent être constantes. Aussi sont-elles |
définies |
par |
la loi d’une façon rigoureuse. Leur ensemble forme un système d’unités. Le premier système complet d’unités adopté en France
était basé sur l’unité de longueur, le |
mètre, d’où son |
nom: |
|
Système métrique. |
|
|
|
56. L’unité., principale de capacité |
est |
le litre. Le litre est le |
|
volume occupé par une masse d’eau |
pure |
d’un kilogramme, |
prise |
à la température de 4°C, sous la pression de 760 mm. Pratique
ment, on peut dire que le litre équivaut |
au |
décimètre cube. |
|
57. Les fuseaux horaires |
sont numérotés de 0 à 23 à partir de |
||
celui dont l’axe correspond |
au méridien |
de |
Greenwich, et en |
allant vers l’est. Le numéro du fuseau indique donc l’heure qu’il est pour tous les points de ce fuseau quand il est 0'* au fuseau origine. L’Europe s’étend sur trois fuseaux. L’Europe occidentale (dont la France) prend l’heure de Greenwich (heure G. M. T.); l’Europe centrale avance d’une heure sur l’Europe occidentale; l’Europe orientale d’une heure sur l’Europe centrale.
58. Deux polygones sont dits semblables quand ils ont leurs
angles égaux et leurs côtés homologues proportionnels. |
|
||||||
59. |
Résoudre un triangle, c’est |
calculer |
la |
valeur |
numérique |
||
des éléments principaux du triangle. |
point, par |
le |
point |
il |
passe |
||
60. |
Etant donné un plan et un |
||||||
toujours une droite perpendiculaire |
au plan |
et |
il n’en |
passe |
|||
qu’une. |
Un triangle ne peut avoir qu’un angle obtus. |
|
|
|
|||
61. |
|
|
|