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книги из ГПНТБ / Трудности перевода с французского языка (на материале математической лексики)

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1. Comme nous l’avons déjà vu, la fonction de Lagrange ne

dépend dans ce cas que du carré du vecteur vitesse.

de

liberté,

2. Pour

un système mécanique fermé à

s degrés

le nombre

d’intégrales du

mouvement

indépendantes

est

égal à

2 s— 1. Des considérations

simples le

montrent avec

évidence.

3. Les

conditions précédentes supposées

vérifiées

par

A, B,

le seront par chacune de ces expressions.

4. Nous avons su reconnaître si deux segments étaient égaux

ou inégaux. Dire que deux segments sont inégaux,

c’est donner

un renseignement assez vague. On

peut essayer

de

le préciser.

5. Maintenant, si l’on remarque que E et e sont

réductibles en

même temps

(il faut bien remarquer que e peut être dénombrable, *

sans que

E

le

soit,

e

est alors

un

ensemble

dénombrable non

réductible; c’est

le

cas de l’ensemble des nombres

rationnels),

on voit

que,

pour que la définitive adoptée s’applique, il faut et

iil suffit

que

l’ensemble

des points

de

discontinuité

de la fonction

, à intégrer f(x)

soit

réductible et

qu’il existe

une

fonction F(x)

vérifiant

 

(1)

dans les

intervalles

f(x) est

continue.

6,. On

peut aussi

couvrir (a, b) à

l’aide d’un nombre fini des

intervalles Л et le théorème, étant évidemment vrai quand on ne considère que ces intervalles en nombre fini, l’est à fortiori quand on considère tous les intervalles A.

7. Quand les vecteurs sont portés sur une même droite indé­ finie, comme le sont, par exemple, les projections de divers vec­ teurs sur l’axe Ox, on leur donne le nom de segments.

PRONOM ADVERBIAL «EN»

1. La molécule peut effectuer des mouvements de translation et de rotation. Au mouvement de translation correspondent trois degrés de liberté. En général, il en existe autant pour la rotation, de sorte que des 2>n degrés de liberté d’une molécule à n atomes 3n — 6 correspondent à un mouvement vibratoire.

2. Nous ne savons pas si l’on peut définir, ni même s’il existe

d’autres ensembles

que

les

ensembles mesurables; s’il an existe,

ce qui est dit dans

le

texte ne

suffit pas

pour

affirmer ni que

le problème de la mesure

est

possible,

ni

qu’il

est impossible

pour ces ensembles.

 

 

de tous ces éléments est dénombrable;

3. Je dis que l’ensemble

il suffit pour nous en convaincre de poser

 

 

 

£/1= 5 з*-2,

Vx— S-a-i,

= -Ян•

 

4. L’ensemble A renfermant au moins 2n éléments, nous pouvons en choisir 2«i et parmi ces 2ri[ en désigner un par u.\. L’ensemble A renfermant au moins 2n2 éléments, nous pouvons en trouver 2(n2—tii) ne faisant pas partie des 2nx.

5.La plus simple des lignes est la ligne droite, un fil tendu nous en offre l’image.

6.Nous allons montrer comment on peut réduire à des élé­

ments simples un ensemble de forces

appliquées à

un

solide et

en déduire les conditions nécessaires

et suffisantes

d’équilibre.

7. L’étude de la composition des

vecteurs nécessite

l’emploi

du théorème des projections. Nous en rappellerons donc la dé­ monstration en l’empruntant, comme celle du théorème relatif à la propriété fondamentale des segments, au Cours de Géométrie analytique.

8. Chaque terme de la somme des travaux élémentaires 2 .. - est alors une différentielle exacte; la somme elle-même en est une.

9. On remarquera enfin que tout réseau qui couvre l’espace se compose d’une infinité dénombrable de cubes et tout réseau couvrant un cube n’en compte qu’un nombre fini.

10.

Ce dernier théorème se déduit du

théorème de Rolle

qui

en est un cas particulier: celui où f(a ) = f( b ) = 0.

 

IL A toute valeur de y comprise entre b et b' correspond une

valeur

bien

déterminée pour x.

En

effet,

il en correspond

au

moins une,

d’après le corollaire du théorème de Cauchy.

 

 

 

PRONOM ADVERBIAL «Y»

 

1.

11 est

plus facile au point

de

vue

mathématique d’opérer

avec des facteurs exponentiels qu’avec des facteurs trigonométriques, puisque la différentiation ne change pas leur forme. Par

suite, tant que nous n’effectuons

que des

opérations

linéaires

(addition, multiplication par

coefficients

constants,

différen­

tiation, intégration), on peut laisser de côté

la partie réelle pour

n’y revenir que dans le résultat final des calculs.

 

2.Puisque les équations du mouvement s’obtiennent à partir du principe de mpindre action en variant chacune des coordon­ nées indépendamment (c’est-à-dire les autres étant considérées comme connues), nous pouvons, pour trouver la fonction de La­ grange La du système A, utiliser la fonction de Lagrange L du système entier A + B en y remplaçant les coordonées qB par des fonctions données du temps.

3.Toute droite qui a deux points dans un plan y est contenue

toute entière.

4.La signification, la nécessité et les conséquences des cinq premières conditions de ce problème d’intégration sont à peu près évidentes; nous ne nous y étendrons pas.

5.Supposons que l’on ait démontré l’impossibilité de l’exi­ stence de deux classes différentes d’êtres satisfaisant aux condi­

tions indiquées et que, de plus, on ait démontré la compatibilité de ces conditions en choisissant une classe d’êtres y satisfaisant; cette classe d’êtres sera la seule définie, de sorte que la défini­ tion constructive qui a servi à effectuer le choix est exactement équivalente à la définition descriptive donnée.

6. Pour éviter toute difficulté, chaque fois que nous voudrons définir une fonction inverse nous choisirons l’intervalle de varia­

tion

(a,

a') de telle manière que la fonction f(x)

qui

sert de

point

de

départ y varie constamment dans le même sens.

7.

Si

la fonction z est continue dans la région

(R),

supposée

finie, elle y atteint une limite supérieure M et une limite infé­ rieure m.

tout (adjectif)

1.Le fait que l’énergie potentielle dépend seulement de la distribution des points matériels au même instant, a pour consé­ quence qu’un changement de position de l’un d’entre eux se répercute instantanément sur tous les autres

2.Dans un système de référence galiléen, tout mouvement libre s’effectue avec une vitesse constante en grandeur et en direction.

3.La rotation du système modifie non seulement la direction des rayons vecteurs, mais aussi les vitesses de toutes les parti­

cules, tous les vecteurs se transformant suivant une même

loi.

4. Tout mouvement qui s’effectue selon les lois de la méca­

nique classique est réversible.

fermé

5. Puisque les équations du mouvement d’un système

ne contiennent pas le temps explicitement, on peut choisir toute origine des temps que l’on veut, et l’une des constantes arbitrai­ res dans la solution des équations peut toujours être choisie sous forme d’une constante additive ta au temps.

6. La formulé la plus générale de la loi du mouvement des systèmes mécaniques est fournie par le principe dit de moindre action (ou principe de Hamilton); selon ce principe, tout système mécanique est caractérisé par une fonction définie:

L (?., q-i, .... q„ qu q%, ■■. , qs, t)

ou plus brièvement L(q, q, t), le mouvement du système satisfai­

sant à la condition suivante.

et

r

sont

perpendiculaires entre

7.

Puisque les vecteurs M

eux, la constance de M signifie que

pendant tout le

mouvement

de la particule son rayon vecteur

reste dans

un

même plan,

per­

pendiculaire à AL

 

 

point

est

plus

courte

que

8. La perpendiculaire issue d’un

toute oblique.

 

 

sur

une corde

partage

la

9.

Tout diamètre perpendiculaire

corde

et

les deux arcs qu’elle

sous-tend

en

parties

égales.

 

10. On donne le nom de force à

toute cause qui peut mettre

un corps

en mouvement ou modifier

le mouvement d’un corps.

11.On appelle diamètre toute corde qui passe par le centre. Tout diamètre vaut deux fois le rayon.

12.Ainsi, toute cause susceptible de provoquer la sensation d’effort est une force.

13. On appelle grandeur tout ce qui est susceptible d’être augmenté ou diminué.

14. L’addition de plusieurs nombres entiers est l’opération qui a pour but de grouper en un seul nombre toutes les unités con­ tenues dans les nombres considérés.

15.Par définition même est dénombrable tout ensemble dont chaque élément est affecté d’un indice, les indices prenant toutes les valeurs entières et positives.

16.Tout produit d’un nombre fini ou d’une infinité d’ensemb­ les fermés, de même que toute somme d’un nombre fini de tels ensembles, est encore un ensemble fermé.

17.Toute fonction limite de polynômes est aussi mesurable; donc, d’après un théorème de Weierstrass, toute fonction continue est mesurable.

meme (adjectif, adverbe)

I; En définitive, pour nous donner l’ensemble U, nous çommes partis d’un ensemble E, de même puissance que U, supposé donné.

2. L’ensemble de ces points a manifestement même puissance que l’ensemble donné, d’après la manière même dont on l’a obtenu.

3.Les forces, devant se faire équilibre, sont dans un même

plan.

4.Cette condition paraît si peu nécessaire qu’elle est géné­

ralement inconnue, même pour le cas où f et /„ sont intégrables au sens de Riemann ou même continues.

5. Une différence ne change pas si l’on augmente ou si l’on

diminue ses deux ternies d’un même nombre.

l’arc qu’il dé­

6. D’une façon générale, un angle au centre et

coupe sont

mesurés par le même nombre de grades ou le même

nombre de

degrés. C’est pour cette raiçon qu’on

a donné les

mêmes noms aux unités d’angles et aux unités d’arcs.

7.Deux surfaces sont dites équivalentes quand elles ont même

aire.

8.Les lois de conservation de l’impulsion et de l’énergie per­

mettent déjà par elles-mêmes d’aboutir, dans de nombreux cas à une série de conclusions importantes quant aux propriétés de divers processus mécaniques.

9. L’hypothèse d’un temps absolu est à la base même des repré­ sentations de la Mécanique classique.

10. Puisque les atomes des isotropes interagissent de la même

façon, k = k'.

MISE EN RELIEF21

1. Il faut souligner que c’est seulement compte tenu de cette propriété que la définition donnée de la masse acquiert un sens

réel.

2. C’est seulement dans le cas où le système dans son en-

semble est au repos (c’est-à-dire- P = 0) que son moment ne dépend pas du choix de l’origine des coordonnées. 11 est évident que cette indétermination de sa valeur n’influe pas sur la loi de conservation du moment puisque, pour un système fermé, l’im­ pulsion se conserve aussi.

3. Par conséquent, ce n’est pas construire

une série d’une

façon vraiment artificielle que de la donner en

choisissant S„

au lieu de Un.

 

4.Si un corps en mouvement s’arrête, c’est que certaines for­ ces agissent sur lui.

5.C’est donc énoncer une propriété supplémentaire de l’en­ semble que d’écarter cette alternative.

6.C’est en partant du développement que l’on construit cer­

tains cylindres creux tels

que les boîtes à

conserves, les

tuyaux

de poêle, etc.

 

 

 

le plus

souvent

7. Ce sont les définitions constructives qui sont

employées en Analyse; cependant on se sert parfois de

défini­

tions descriptives.

étant

un ensemble mesurable, en appliquant

8. Un intervalle

les opérations I et

II un

nombre fini de

fois à

partir

d’inter­

valles, nous obtenons des ensembles mesurables; ce sont ceux-là que M. Borel avait nommés ensembles mesurables.

9. Beaucoup d’analystes mettent en premier rang la notion du

continu; c’est elle qui intervient d’une manière plus

ou moins

explicite dans leurs raisonnements.

 

 

 

 

 

 

10. Le théorème de M. Cantor revient donc au suivant, et c’est

sous cette forme qu’il a été énoncé

par

son

auteur.

L’ensemble

des points intérieurs

au carré a

même puissance

que

l’ensemble

des points compris entre 0 et

1.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

I l è m e P A R T I E

 

 

 

 

 

1.

Soit

l’équation

x2 + y2 + 1=0.

Etant donné

que

pour tous

x et

y

réels

les nombres

x2

et

y2

ne

sont

pas négatifs,

x2+y 2+ 1> 0, il

n’existe pas

un

seul

point dont

les

coordonnées

puissent satisfaire à l’équation donnée

 

 

 

 

 

2. Nous allons déduire ici une formule permettant de. calculer l’angle formé par deux droites dont on connaît les coefficients angulaires (étant entendu qu’aucune d’elles n’est perpendiculaire à l’axe Ox).

3. Soit une ellipse quelconque de foyers F\F2. Appliquons sur le plan un système de coordonnées cartésiennes orthogonales aux axes duquel nous donnerons une disposition particulière; plus précisément, nous prendrons pour axe des abscisses la droite FXF2, la considérant comme orientée de Fi vers Ег,-l’origine des coordonnées étant fixée au milieu du segment FXF2.

4. L’équation

y2 — —2px

(p étant positif) se réduit

à

l’équa­

tion y2 = 2px en

remplaçant

x par —x, autrement dit

par

trans­

formation des coordonnées consistant à inverser l’orientation de-

l’axe Ox.

 

 

 

 

 

 

 

 

5. Lorsque le corps se meut, il y a en général variation aussi

bien de la valeur absolue de Q que de la direction de

l’axe

de

rotation.

 

 

 

 

(42,

23), tous,

les

6. Ainsi, dans le premier membre de l’égalité

termes

à

dérivées secondes

de f

s’annulent

réciproquement,,

et

puisqu’

il

en est évidemment

de

même pour

les fonctions

g

et h, l’expression entière est identiquement nulle.

 

 

 

7.Par définition, la dérivée totale de l’action par rapport au temps le long de la trajectoire est égale à d s — L.

8.Le mouvement d’un système mécanique est complètement déterminé par le principe de moindre action : en résolvant les

équations du mouvement qui découlent de ce principe, on peut trouver aussi bien la forme de la trajectoire que la relation entre une position sur cette trajectoire et le temps correspondant.

9. Si l’on s’en tient à la question plus restreinte de la déter­

mination de la seule trajectoire

(laissant de

côté la

partie tem­

porelle du problème), il est possible alors de

donner

au

principe

de moindre action une forme simplifiée.

degrés

de

liberté

10. Considérons un système

à plusieurs

effectuant un mouvement fini, par rapport à toutes les coordon­ nées. Supposons que le problème admette une séparation com­ plète des variables dans la méthode de Hamilton—Jacobi. Cela, signifie que pour un choix convenable des coordonnées, l’action raccourcie est égale à la somme

 

S0 = 2i S,(?i>.

 

 

 

chacune de ces fonctions dépendant

d'une seule coordonnée. Les

impulsions généralisées

 

dS

dS-

des

fon­

étant p i = g ^ =

^ , chacune

ctions Si peut s’écrire

S» = fPidqi.

Ces

fonctions ne

sont

pas

uniformes. Le mouvement du système étant fini, chaque coordon­ née ne peut prendre que des valeurs comprises dans un inter­ valle fini déterminé.

11. Le choc de particules de même masse (dont l’une est ini­ tialement au repos) s’exprime de façon particulièrement simple.

12.Déterminer les oscillations forcées du système dues à une force F(t), dans les cas suivants.

13.Des considérations physiques rendent évident a priori le

caractère réel et positif des racines

de l’équation

(23,4).

14. La question se pose'naturellement de savoir s’il n’est pas

possible d’exprimer

les coordonnées

généralisées

de

telle façon

que chacune d’elles

accomplisse une

seule oscillation

simple. La

forme même de l’intégrale générale (23,5) indique le moyen de résoudre ce problème.

15. En effet, en considérant les s relations comme un système

d’équations à s inconnues 0 a,

nous pouvons,

en

résolvant ce

■système, exprimer

les quantités

©i, 6 2........ 6 *

en

fonction des

coordonnées Xi, x2,

..., xs.

 

 

 

16.Outre les mouvements constitués par les oscillations des atomes autour de leur position d’équilibre à l’intérieur de la molécule, celle-ci peut effectuer elle-même des mouvements de translation et de rotation. Au mouvement de translation corres­ pondent trois degrés de liberté.

17.Dans bien des cas cependant, le frottement est suffisam­ ment faible pour qu’on puisse négliger complètement son influen­ ce sur le mouvement.

18.Nous pouvons dès maintenant tirer quelques conclusions quant à la forme de la fonction de Lagrange pour un point maté­ riel se déplaçant librement dans un système de référence galiléen.

L’uniformité de l’espace et du temps signifie

que

cette

fonction

ne peut contenir explicitement ni le rayon vecteur

r

du

point,

ni

le temps

t;

autrement dit, L ne sera fonction que

de

la

vitesse V.

Du fait

de

l’isotropie de l’espace, la fonction

de

Lagrange

ne

peut dépendre non plus de la direction du vecteur V, de sorte qu’elle n’est fonction que de sa valeur absolue.

19. Si le système de référence K' est celui dans lequel le sys­

tème mécanique donné est au repos dans

son ensemble, V

est

alors la vitesse du centre d’inertie de ce

système, et

pV

son

impulsion totale P (par rapport à K'). Par suite

 

 

M —

RP.

 

 

 

20. La multiplication de la

fonction de

Lagrange

par

un

facteur constant quelconque ne change évidemment pas les équa­ tions du mouvement. Grâce à cette circonstance il est possible, dans de nombreux cas importants, de tirer plusieurs conclusions quant aux propriétés du mouvement, sans intégrer les équations.

21.La loi de conservation n’est valable pour les trois compo­ santes du vecteur impulsion qu’en l’absence de champ extérieur.

22.Le mouvement d’un système à un degrés de liberté est dit

linéaire.

23.De même que l’énergie potentielle U, la force ne dépend que des coordonnées des particules et non de leur vitesse.

24.La loi de conservation de l’énergie est valable non seule­ ment pour les systèmes fermés, mais aussi pour les systèmes placés dans un champ extérieur constant (c’est-à-dire ne dépen­ dant pas du temps); en effet, la seule propriété de la fonction de Lagrange que nous avons utilisée dans nos raisonnements, à

savoir le fait qu’elle ne dépend pas explicitement du temps, reste valable dans ce cas. Les systèmes mécaniques dont l’éner­ gie se conserve sont parfois appelés conservatifs.

. 25. La position d’un point materiel dans l’espace est déter­ minée par son rayon vecteur r, dont les composantes coïncident avec ses coordonnées cartésiennes x, y, z.

26. Soit un système mécanique composé de deux parties A et B. dont chacune, étant fermée, aura respectivement pour fon­

ction de Lagrange

les

fonctions LA et Lb. Si alors on éloigne

ces parties l’une

de

l’autre suffisamment pour que leur inter­

action devienne négligeable, la fonction de Lagrange du système tendra vers la limite limZ. = LA+ LB.

27.Puisque l’énergie cinétique est une grandeur essentielle­ ment positive, lors du mouvement l’énergie totale est toujours supérieure à l’énergie potentielle.

28.En ramenant le problème du mouvement de deux corps à celui d’un seul, nous avons été conduits à la question suivante: déterminer le mouvement d’une particule dans un champ exté­

rieur

où son énergie

potentielle dépend

seulement de

la

distance

r à

un

point immobile donné; un tel

champ est

dit

central.

29.

L’exemple le

plus important

de

champ

central

est celui

d’un champ dans lequel l’énergie potentielle est inversement pro­ portionnelle à r et, respectivement, les forces sont inversement

proportionnelles

à r2.

C’est

le cas, par exemple, du champ

de

gravitation

newtonien

et du champ électrostatique de Coulomb;

le premier

est,

comme

on le

sait, un champ d’attraction et

le

second peut être aussi bien un champ d’attraction que de répul­

sion.

Considérons

d’abord

un

champ

d’attraction

dans lequel

U =

,

la constante

a étant positive.

 

 

30.

Il

est

clair

d’après

(15,4)

que

si E < 0,

l’excentricité

e < \ .

c. à. d. què l’orbite est une ellipse et le mouvement, comme

nous l’avons

dit

au

début du

paragraphe, est fini. Selon les

formules connues de la géométrie analytique les grand et petit

demi-axes de l’ellipse sont...

31.Des calculs tout à fait analogues nous conduisent aux résultats suivants pour des trajectoires hyperboliques.

32.Soulignons que l’intégrale première (15,17), de même que

les intégrales M et E, est une fonction uniforme

de

l’état (posi­

tion et vitesse) de la particule. Nous verrons

au

paragraphe

suivant que l’apparition de cette intégrale uniforme supplémen­ taire est due à ce qu’on appelle la dégénérescence du mouvement.

33.

Dans

les

applications physiques

on

a

habituellement

affaire

non

plus à

la désintégration d’une particule, mais à celle

de nombreuses particules identiques, ce

qui pose alors le pro­

blème de la répartition des particules

résultantes

suivant

les

directions, les énergies, etc. Nous supposerons dans

ce cas

que

les particules initiales sont orientées

dans

l’espace

chaotique­

ment, c’est-à-dire qn moyenne de façon isotrope.

relations

pos­

34.

Pour

V0< V

il faut tenir compte

des

deux

sibles entre 0Oet 0.

 

 

 

 

 

 

\

35. En vertu de la loi de conservation de l’impulsion, après le choc, les impulsions des deux particules restent égales en gran­ deurs et opposées en dir'ection.

36. Là se limitent les renseignements que l’on peut obtenir sur les chocs en partant des seules lois de conservation de l’im­ pulsion et de l’énergie. Ее ce qui concerne sa direction, le vecteur n dépend de la loi d’interaction des particules et de leur position réciproque pendant le choc.

37. Les méthodes de mesure et de calcul des Egyptiens étaient cependant trop rudimentaires pour qu’ils aient pu étudier de manière précise le mouvement des astres. Ils ont dû faire pour­ tant quelquefois des observations relativement précises: nous le

savons d’après l’orientation de certains

monuments;

ainsi

les

côtés des bases de Pyramides sont

orientés Nord-Sud

et

Est-

Ouest à moins d’un demi-degré près.

un

système de solution, je

38. Désignant par 0= Oo, 0' = 0</

pose, pour abréger, ... et j’en conclus que chacune des différen­

ces

x — a et

y b devant

s’évanouir

pour

0 = 0o

et

0' =

0o',

nous

aurons

en

désignant par Ф(0) ...

des

polynômes

en

0 de

degré n — 2,

le système suivant.

 

 

 

 

 

 

39.

Pour

parvenir à une telle évaluation

on n’a

qu’à

partir

de la

relation (1) qui s’ensuit facilement

du

système

(2)

et

d’en

tirer

l’inégalité

(3) qui conduit à l’évaluation requise

pour

M.

40.

L’expérience montre que la machine ne crée pas de l’éner­

gie,

mais qu’elle

transforme

l’énergie qu’elle reçoit, ce qui

revient

à dire qu’on ne peut créer de l’énergie ni détruire une énergie existante: c’est le principe de la conservation de l’énergie qui a toujours été vérifié.

41. Quelque

petit que. soit

le nombre donné à l’avance e, on

peut prendre le

nombre r assez

grand pour vérifier l’inégalité (8).

42.Soit à répartir une masse totale égale à l’unité dans l’intervalle donné.

43.Deux droites sont dites perpendiculaires entre elles quand

un des angles qu’elles forment est droit.

44.

Pour démontrer l’égalité de

deux

triangles

quelconques,

il suffit

de montrer qu’ils satisfont

à l’un

des trois

cas d’égalité

que nous venons d’énoncer. Ayant établi que deux triangles sont égaux, on en déduit que les angles opposés aux côtés égaux sont égaux et réciproquement.

45.L’aire d’un trapèze est le demi-produit de la somme des longueurs des bases par celle de la hauteur.

46.L’aire totale d’un cylindre de révolution s’obtient en ajoutant au double de l’aire d’une base l’aire d’un rectangle dont les côtés ont pour longueur le périmètre d’une base et la hauteur

du cylindre.

47. A la suite d’observations et de raisonnements les hommes se sont peu à peu persuadés que la Terre était ronde, c’est-à-dire

que si l’on fait abstraction des irrégularités dues à son relief, sa surface était sensiblement une sphère.

48.La demi-droite est illimitée dans un sens.

49.La droite est illimitée dans les deux sens.

50.Par un point A passent autant de droites que l’on veut.

51.

Soient deux segments AB et

CD tels que AB soit inférieur

à CD.

Pour désigner un angle on

écrit (l’ordre des côtés n’im-

52.

 

 

/ ч

porte pas): angle xOy, en abrégé: xOy, ou en abrégeant encore

plus (si aucune confusion n’est à craindre) : O.

53. La longueur du cercle de rayon 4 cm est à peu près le double de la longueur du cercle de rayon 2 cm; il en est de même pour la longueur des cercles de rayon 6 cm et 3 cm. Nous pouvons nous demander si la longueur d’un cercle n’est pas pro­ portionnelle au rayon; s’il en est ainsi, elle sera aussi proportion­ nelle au diamètre.

54. Une calotte sphérique est une portion de la surface de la sphère limitée par un plan sécant. C’est une zone à une base. Une calotte sphérique limitée par un grand cercle est une hémis­ phère.

55. Pour être valables en tout temps et en tout

lieu, les

uni­

tés choisies doivent être constantes. Aussi sont-elles

définies

par

la loi d’une façon rigoureuse. Leur ensemble forme un système d’unités. Le premier système complet d’unités adopté en France

était basé sur l’unité de longueur, le

mètre, d’où son

nom:

Système métrique.

 

 

 

56. L’unité., principale de capacité

est

le litre. Le litre est le

volume occupé par une masse d’eau

pure

d’un kilogramme,

prise

à la température de 4°C, sous la pression de 760 mm. Pratique­

ment, on peut dire que le litre équivaut

au

décimètre cube.

57. Les fuseaux horaires

sont numérotés de 0 à 23 à partir de

celui dont l’axe correspond

au méridien

de

Greenwich, et en

allant vers l’est. Le numéro du fuseau indique donc l’heure qu’il est pour tous les points de ce fuseau quand il est 0'* au fuseau origine. L’Europe s’étend sur trois fuseaux. L’Europe occidentale (dont la France) prend l’heure de Greenwich (heure G. M. T.); l’Europe centrale avance d’une heure sur l’Europe occidentale; l’Europe orientale d’une heure sur l’Europe centrale.

58. Deux polygones sont dits semblables quand ils ont leurs

angles égaux et leurs côtés homologues proportionnels.

 

59.

Résoudre un triangle, c’est

calculer

la

valeur

numérique

des éléments principaux du triangle.

point, par

le

point

il

passe

60.

Etant donné un plan et un

toujours une droite perpendiculaire

au plan

et

il n’en

passe

qu’une.

Un triangle ne peut avoir qu’un angle obtus.

 

 

 

61.

 

 

 

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