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книги из ГПНТБ / Трудности перевода с французского языка (на материале математической лексики)

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31. Au lieu d’écrire successivement les termes

«o,

«2,

...,

de la suite des valeurs approchées, on se borne à

écrire

l’un

de

ces termes un en prenant n suffisamment grand.

 

 

 

32. Il peut arriver que toutes les conditions d’équilibre soient remplies, sauf celles qui sont relatives aux sens des tensions par rapport aux côtés; alors certains côtés sont comprimés au lieu

d’être tendus et l’équilibre ne subsiste pas.

en fonction

de

33. Si au lieu d’être définie par la valeur de z

x et y, la surface est donnée par les trois équations

 

 

x=f(u, v), y = <?(u, v), 2 = '|>(И, v),

 

 

и et v étant des paramètres arbitraire, l’équation

du

plan tan­

gent sera ...

sont

loin

de

34. Cependant toutes les intégrales premières

jouer un rôle d’égale importance en Mécanique. 11 en est parmi elles dont la constance a une origine très profonde, liée aux propriétés fondamentales de l’espace et du temps, c’est-à-dire à leur uniformité et à leur isotropie.

35. Lorsque la désintégration d’une particule donne plus de deux composantes, les lois de conservation de l’impulsion et de l’énergie laissent évidemment beaucoup plus d’arbitraire aux vitesses et directions , des particules nées de la désintégration. En particulier, l’énergie de ces particules dans le système «c» est loin d’avoir une valeur unique, Il existe, cependant, une limite supérieure à l’énergie cinétique que chaque particule peut emporter avec elle.

INFINITIF —COMPLÉMENT DE DIFFÉRENTS VERBES

1. Soit à calculer la longueur d’un arc de 48° sur un cercle de 12,5 cm de rayon.

2. Ainsi, soit à calculer l’hypoténuse d’un triangle qui a pour côtés de l’angle droit 3 cm et 4 cm.

3. Il est à remarquer que la Mécanique est et avait toujours été étroitement liée avec la technique pratique.

4.Soit à évaluer la longueur de l’arc de courbe AB défini par les équations paramétriques.

5.Ces relations additives sont à considérer comme les «équa­

tions approchées» déduites de l’équation «exacte» S = 0.

6.A ce nouveau point de vue nous aurions à distinguer deux sortes d’Analyse.

7.Ajoutons, quoique nous n’ayons pas à nous en servir, une

propriété caractéristique

des ensembles parfaits de translation:

ce sont

les

ensembles

parfaits

qui sont

décomposables, d’une

infinité

de

manière, en

portions

égales par

translation.

8. Ce que nous venons de dire des nombres 0 montre que la condition est nécessaire. Nous avons donc à montrer qu’elle est suffisante.

9.

Nous

n’aurons

à user que d’un tout petit

nombre

de lois.

10.

Dans

le cas

d’un

corps

homogène,

on

pourra

toujours

commencer par effectuer l’une des trois intégrations.

 

11.

Dans

la pratique,

pour

rectifier une

courbe, c’est-à-dire

pour calculer sa longueur, on commence par calculer son élément linéaire.

12.Deux infiniments petits sont dits de même ordre quand leur rapport tend vers une limite finie et non nulle, ou, plus généralement, finit par rester compris, en valeur absolue, entre deux nombres fixes et positifs. Deux fonctions sont dites équiva- lentes si leur rapport tend vers 1.

13.Etant donné un nombre positif e qu’on peut choisir aussi petit qu’on le veut, on peut lui faire correspondre un nombre

naturel N tel que

l’inégalité

n^>N

entraîne la

suivante

IUn— Ul<e. Autrement

dit, si petit que

soit e, Un finit

toujours

par rester compris entre U — e et

U + в.

 

 

14.Nous ne chercherons pas à donner une définition du mot «ensemble»; il nous paraît qu’il y a là une notion suffisamment primitive.

15.Le but des quelques pages qui vont suivre est précisément de chercher à donner à la notion d’ensemble la précision qui est.

nécessaire pour qu’on puisse l'utiliser dans les recherches rigou­ reuses.

16. Le plus simple des polygones réguliers étant le triangle équilatéral, posons n = 3 et cherchons à déterminer les polygo­ nes pouvant être associés avec ce triangle.

17.Lorsque, nous saurons intégrer les fonctions \|з qui ne pren­ nent que les valeurs 0 et 1, nous en déduirons, grâce aux condi­ tions 3 et S, les intégrales des <p(X) et Ф(х), lesquelles compren­ nent l’intégrale de f(x).

18.Etant donné un ensemble, si nous savons démontrer que, lorsqu’on supprime un nombre fini quelconque d’éléments, il en reste au moins un, nous pourrons affirmer que l’ensemble ren­

ferme une infinité d’éléments et, par suite, qu’il en reste une infinité.

19. Tous les corps abandonnés à eux-mêmes tombent vers le sol; on donne le nom de pesanteur à la cause qui les fait tomber.

20. Cette application du théorème complété fait bien comp­ rendre tout l’usage qu’on en peut faire dans la théorie des fon­ ctions.

21. Les conditions 5 et 5 ' constituent ce qu’on peut appeler

la condition de similitude,

elles fontconnaître ce que devient une

intégrale

par

les

transformations x x— kx, f x(x) = kf(x).

22.

Si

l’on

fait

varier

la direction Op d’une manière arbi­

traire,

le

lieu

du centre ю des forces parallèles рь est un plan

qui se nomme,

d’après Môbius, plan central.

1.Tout ensemble de nombres et de lettres reliés par des sig­ nes indiquant des opérations à effectuer forme une expression algébrique.

2.Voici la question à résoudre.

3.L’intérêt que présente cet exercice est de montrer que l’intégrale peut avoir un sens, la fonction positive à intégrer ne tendant pas vers zéro.

4.Le théorème à démontrer revient donc à ceci.

5.Etant donné un parfait E, existe-t-il ou non des séries tri-

gonométriques

arbitrairement

rares ou

lacunaires (dans

un sens

à définir) dont

la somme soit

nulle

sur E sans être

partout

nulle?

6. Il ne rentre pas dans le cadre de cet Ouvrage d’aborder ce ■côté de la question. Nous allons seulement passer en revue les différents types de fonctions qu’on sait intégrer par les fonctions

'élémentaires, en indiquant

pour chacun

d’eux la

méthode à

.suivre pour effectuer la quadrature.

évaluer

ne peut être

7. Il arrive même que

la grandeur à

définie d’une manière précise que par le moyen d’une ou plusi­ eurs intégrales.

INFINITIF-SUJET

1. Faire varier un même nombre de fois toutes les coordon­ nées des particules, c’est passer de certaines trajectoires à d’aut­ res, géométriquement semblables aux premières et n’en différant

que par leurs dimensions linéaires. Nous sommes

amenés ainsi

à la conclusion suivante.

ses racines.

2.

Résoudre une

équation, c’est calculer toutes

3.

Si le nombre

des éléments est fini, donner

un ensemble,

c’est

donner tous ses éléments, sans en excepter un seul.

4.

Retrancher (a\+bii) de (a2+ b2i), c’est trouver (a + bi) tel

que l’on ait (a2+ b2i) = (al+ bli) + (a + bi) = (ai+a) + (bl + bi).

5. Dire que y-+l lorsque x->x° revient alors à dire qu’étant

donné un nombre e> 0 il est possible de déterminer un nombre

q > 0

tel que les conditions (1) et (2) entraînent |y—/|<e.

 

 

PARTICIPE PASSÉ

 

1. Les oscillations normales d’une molécule peuvent être clas­ sées suivant le caractère du mouvement des atomes, en vertu de

considérations liées à la symétrie

de répartition des atomes dans

la molécule (position d’équilibre).

jusqu’aux termes de l’ordre

2. En résolvant cette équation

de h2 nous

obtenons les valeurs limites

des e cherchées.

3. L’une

des applications les

plus

importantes des formules

que nous avons obtenues ci-dessus est la diffusion des particules chargées dans un champ coulombien.

4. Il existe un type de mouvement extrêmement répandu en mécanique: ce sont les petites oscillations effectuées par un système au voisinage de sa position d’équilibre stable. Nous abor­ derons l’étude de ces mouvement avec le cas le plus simple: celui d’un système à un seul degré de liberté.

5. Considérons un système de points matériels réagissant les

uns sur les autres, mais isolés de tout corps

étranger;

on

dit

d’un tel système qu’il est fermé.

 

points

6. La sphère est la surface courbe formée par tous les

qui sont à une même distance, appelée rayon,

d’un point

qui

est

le centre de la sphère.

7. Une zone est une portion de la surface de la sphère com­ prise entre deux plans sécants parallèles.

8. Deux forces parallèles et de sens contraire appliquées à un solide ont une résultante égale à leur différence.

9. L’accélération communiquée à un corps par une force don­

née est directement proportionnelle

à la grandeur de cette force

et inversement proportionnelle à la

masse du corps; la direction

de l’accélération coïncide avec celle de la force.

10. Une somme ne change pas si l’on remplace plusieurs ter­ mes par leur somme effectuée.

PARTICIPE PRÉSENT

1.Tout segment joignant deux sommets non consécutifs d'un1 polygone est une diagonale.

2.Tout angle ayant son sommet au centre d’un polygone et

dont les côtés passent par deux sommets consécutifs est appelé angle au centre du polygone.

3. Pour que cette définition s’applique, il faut d’abord qu’il existe une fonction continue F(x) vérifiant la formule (1). Ceci revient dans les deux cas traités par Cauchy et Dirichlet, à sup­

poser l’existence des limites

qui ont servi dans la définition.

4. Si l’on regarde U et V

comme

les coordonnées rectangulai­

res d’un point d’un plan, ces

courbes

sont des paraboles quelcon­

ques ayant pour directrice l’axe des V.

5. Une grandeur géométrique, ou vecteur, est une droite limi­

tée A\Bi ayant une origine A, et

une

extrémité Bt.

6.

On verra que Af2, Af3, A/4, O sont dans un même plan, qui

n’est autre que P (c’est-à-dire le plan), comme ayant en commun

avec lui les trois points O, M2, Af3, ...,

et ainsi de suite.

 

PROPOSITIONS PARTICIPES (CONSTRUCTION ABSOLUE)

1.

On appelle les nombres

e

et 0 coordonnées polaires du

point Al (dans le système donné), le nombre e étant considéré comme première coordonnée ou rayon polaire, le nombre 0 comme deuxième coordonnée ou angV polaire.

2.Dans de nombreux problèmes l’équation de la courbe joue Un rôle fondamental, la courbe elle-même étant considérée comme une chose secondaire.

3.Le nombre des degrés de liberté vibratoires d’une molécule

linéaire étant 3n—5, on aura 2n—4 oscillations pour lesquelles les atomes sortiront de la droite.

4.La fonction de Lagrange du solide s’obtient en retranchant l’énergie potentielle de (32,3).

5.On obtient ainsi aussi bien l’expression de la section de diffusion du faisceau incident (x exprimé en fonction de 0t) que

celle des particules initialement au repos (x exprimé en fonction

de 02) .

6. L’homogénéité de l’espace donne lieu à une autre loi de conservation. Du fait de cette homogénéité, les propriétés méca­ niques d’un système fermé ne changent pas lors d’un déplace­

ment parallèle du système entier dans l’espace. On désigne

sous

le nom de déplacement parallèle une transformation dans

la­

quelle tous les points du système se déplacent d’un même seg­ ment; autrement dit, leurs rayons vecteurs r0->ra+ e. La varia­ tion de la fonction L pour une variation infiniment petite des coordonnées (les vitesses des particules étant constantes) est donnée par

a a

la sommation étant effectuée pour tous les points matériels du système, e étant arbitraire, la condition ôL = 0 est équivalente à la condition

n

7. Pour que la trajectoire soit fermée, il faut et il suffit que cet angle soit une fraction rationnelle de 2л- c’est-à-dire ait la forme Д«р = 2лт/п, m et n étant des nombres entiers.

8. Lorsque cette condition est remplie, les deux circonférences se coupant en deux points, il en résulte une ambiguïté fâcheuse.

9. Les expressions de la forme-^-,Л et B étant deux expres­

sions algébriques, s’appellent fractions algébriques.

un

10.

Quand la

construction d’un triangle en

connaissant

côté et

les angles

A et C adjancents à ce côté

est possible,

elle

ne l’est que d’une manière. On en conclut le premier cas d’éga­ lité des triangles.

11. L’aire totale d’un prisme droit s’obtient en ajoutant au double de l’aire d’une base, l’aire d’un rectangle ayant pour lon­ gueurs de ses côtés le périmètre de la base du prisme et la hau­ teur du prisme.

12. L’échelle d’un dessin représentant un objet est une fra­ ction, dont le numérateur est la mesure de la longueur du seg­

ment dessiné et le dénominateur la mesure de

la longueur du

segment réel, les deux segments

étant

mesurés

avec

la

même

unité.

 

 

poids

de

l’unité

13. On appelle poids spécifique d’un corps le

de volume de ce corps. Le poids

d’un

corps est

égal

au

produit

de son poids spécifique par son volume, les poids et les volumes étant exprimés en unités correspondantes.

14.

Le cercle étant partagé en 8 parties égales, si on joint les

points

de

division

de

3 en 3,

on obtient l’octogone étoilé.

15.

Le

volume

du

cylindre

droit s’obtient

en multipliant la

surface

de

la base

par la hauteur. On a V = nR2h.

16.

Le système des axes mobiles étant animé d’un mouvement

de translation, la

rotation instantanée de ce

système est nulle.

17.Le moment résultant ayant une longueur constante, la distance du plan tangent en m au centre Q est constante.

18.Le XIX siècle se caractérise par le développement le plus fructueux de la Mécanique, les savants russes y apportant une contribution considérable.

19.La multiplication est une opération qui a pour but, étant donné deux nombres, l’un appelé multiplicande, l’autre multipli­ cateur, d’en former un troisième appelé produit qui soit la somme d’autant de nombres égaux au multiplicande qu’il y a d’unités au multiplicateur.

20.Le théorème suivant permet de calculer X et Y, les points Mt et M2 étant donnés.

21. Si l’on-suppose le z de la surface développé en série par la formule de Maclaurin pour de petites valeurs de x et y, on a,

pour l’équation de la surface, z = ^- + 4 - + q>(x, y), les termes

composant ц>(х, y) étant du troisième ordre au moins en x et y, p et q désignant les deux rayons de courbure principaux de la

surface en 0. Le point matériel étant pesant,

il y a

une

fonction

de force U = gz.

d’abord

V2 = 2 gz + h,

22.

Le théorème des forces vives donne

en prenant l’axe des z dirigé vers le bas.

 

 

 

23.

Quand la surface est homogène, p est

constant,

la masse

M est

pS, S désignant l’aire de la surface, et

l’on a ...

 

24.Imprimons au point M un déplacement virtuel qui s’effec­ tue sur la surface S, c’est-à-dire qui est obtenu en laissant t con­ stant.

25.Une fois les impulsion p remplacées par leurs valeurs constantes données, les équations (46,7) se réduisent à des équa­ tions contenant seulement les coordonnées, de sorte que les coor­ données cycliques disparaissent complètement.

26.Une fois le mouvement connu, pour avoir la réaction, il

suffira de tirer ... d’une

quelconque des

équations

du

mouve­

ment.

 

 

x,

y, г

en

fonction de

 

27. Pour obtenir les équations donnant

t,

il

faudra éliminer ...

entre ces équations

(2),

ce

qui

donne

deux

équations. Une fois

le mouvement connu, la valeur

de .. .

et,

par suite, fa grandeur

de la réaction normale sera

fournie par

une quelconque des équations (2) ou par une combinaison de ces équations.

28. Une fois le cylindre en mouvement, on admet que, s’il y a roulement, la réaction du plan s’opposant au roulement atteint constamment son maximum, de sorte que, pendant le roulement, le couple représentant le frottement de roulement est égal con­ stamment à Nb, N désignant la composante normale de la réaction du plan de même que, s’il y a glissement, la composante

tengentielle F de la réaction

est constamment

égale à Nf.

29.

Ceci posé, imaginons

qu’on ait

marqué

sur l’axe

tous les

points

dont l’abscisse est de

la forme

na, n

 

étant un

nombre

entier.

30.Ceci posé, les lignes de la surface, représentées par l’équa­ tion (45,2), sont telles qu’en un point quelconque de chacune d’elles le plan tangent est le même.

31.Etant donné que l’ellipse est symétrique par rapport à chacun des axes de coordonnées, il suffit de prendre en consi­ dération la portion d’ellipse qui est située dans le premier qua­ drant.

32.Etant donné que la fonction de Lagrange est indépendante

de r, nous avons

= 0, et les équations de Lagrange prennent

la forme ...

33.Etant donné un triangle, il existe toujours un cercle pas­ sant par les trois sommets de ce triangle. Ce cercle est le cercle circonscrit au triangle.

34.Etant donné un polygone gauche fermé P, on dirige, sui­ vant les côtés de ce polygone, dans un même sens de circulation,

des forces égales aux côtés.

35. Nous venons de voir qu’étant donnée une fonction conti­

nue, il

existé toujours une

fonction continue ayant f(x) pour

dérivée;

on

sait

d’ailleurs

que toutes les fonctions continues

ayant même

dérivée

ne diffèrent que par une constante.

 

 

 

 

PRONOM IMPERSONNEL

 

1. Il est évident que la multiplication de la fonction de La­

grange

d’un

système mécanique

par une

constante arbitraire

n’influe

pas

par elle-même sur les équations du mouvement.

2.

Par

un

point il ne passe qu’une perpendiculaire

à une droite.

3.

Il

a

été convenu de choisir,

comme

unités de

volume, les

volumes des cubes dont la longueur d’arête est le mètre ou un multiple ou un sous-multiple du mètre.

4.Il existe, pour les triangles rectangles, les cas de construc­ tion et d’égalité suivants.

5.Dans une force, il convient de distinguer : le point d’appli­ cation, la direction et la grandeur ou intensité.

6. Par deux points, il passe toujours une droite

et

il

n’en

passe qu’une.

 

 

 

7. La notion de forces concentrées est conventionnelle puisque,

pratiquement, il est impossible d’appliquer une force

à

un

corps

en un seul point.

 

 

 

8.La règle de l’addition des nombres décimaux est la même que celle des nombres entiers. 11 suffit de placer, dans la somme obtenue, la virgule à son rang.

9.Il ne peut pas se faire qu’il y ait à la fois dans la première classe un nombre A plus grand que tous les autres nombres de cette classe.

10.Parmi les propositions il s’en trouve que l’on admet comme évidente sans démonstration.

11. Il peut arriver qu’il n’y

ait pas d’objet appartenant à la

fois à tous les ensembles d’une

famille

considérée.

12. Il est d’ailleurs facile de

calculer

cette dérivée, lorsqu’on

a établi son existence.

 

 

13.Il est souvent fort pénible de reconnaître si une quadra­ ture peut ou non se ramener aux fonctions élémentaires.

14.Il est inutile de recourir à la formule de Green et nous

allons donner une autre démonstration qui s’étend

plus facile­

ment à un nombre quelconque de variables.

un théorème

15. Pour faire cette théorie, il convient d’établir

dû à M. Vitali.

 

PRONOM RELATIF («DONT»)

 

1.Puisque pour un mouvement plan il y a en tout 2n degrés de liberté, dont deux de translation et un de rotation, le nombre des oscillations normales qui laissent les atomes dans le plan est égal à 2n — 3.

2.Les coordonnées r et r' d’un même point dans deux systè­ mes de référence différents K et K' dont le deuxième se déplace par rapport au premier avec une vitesse V, sont liées par la re­ lation r = r + Vt.

le

3. Nous appellerons vecteur de rotation infiniment petit ôcp

vecteur dont la valeur absolue est égale à l’angle de rotation

et

dont

la direction coïncide avec l’axe de rotation (de telle sorte

que par

rapport à la direction de ôcp, la rotation s’effectue suivant

la

règle

du tire-bouchon).

4. La longueur d’un cercle est égale au produit de son dia­

mètre par le nombre n dont

la valeur approchée est 3,141.

 

5. Soit un arc AB dont nous savons la mesure en degrés; cet

arc n’est connu que si nous

donnons également Je _ . rayon

jdu.

cercle sur lequel il est tracé.

r. . , ' - T C . г.

'

 

2 З а ка з 219.

[

..-m* i H« <[y

 

f

оЛдг* * r Ллк

; читая^нО' j

6.On appelle angle au centre un angle dont le sommet est situé au centre d’un cercle. Tout angle au centre découpe un arc sur le cercle.

7.Les ensembles dont les deux mesures extérieure et inté­ rieure sont égales, sont dits mesurables.

8.Il est évident que si l’on réunit une infinité dénombrable d’ensembles dont chacun a la puissance du continu, l’ensemble ainsi obtenu a aussi la puissance du continu.

9.Considérons maintenant l’ensemble E, constitué par les

points dont la distance à £ ne dépasse pas p; autrement dit, la réunion des segments de longueur 2p dont les milieux appartien­ nent à E.

10. Cauchy énonce d’une manière très précise la définition dont on vient de voir deux applications.

PRONOMS RELATIFS (OUTRE «DONT.)

1. Nous savons que le moment cinétique d’un système dépend du choix du point par rapport auquel il est défini. En mécanique du solide, le plus rationnel est de choisir ce point à l’origine du système de coordonnées fixe, c. à d. au centre d'inertie du corps.

2. Considérons maintenant les oscillations dans un système soumis à l’action d’un champ extérieur variable; on les appelle

oscillations forcées, à la

différence des

oscillations

dites

libres

que nous avons étudiées

au paragraphe

précédent.

Les

oscil­

lations étant toujours supposées petites, cela sous-entend que le champ extérieur doit être suffisamment faible, sans quoi il pour­ rait provoquer un déplacement x trop grand.

3. Lorsque l’on étudie les propriétés mécaniques d’un système

fermé, il est naturel

d’utiliser pour système de référence celui

dans lequel son centre

d’inertie est au repos. On se débarrasse

par là même du mouvement rectiligne et uniforme du système

dans son ensemble, qui,

en l’espèce, ne présente pas d’intérêt.

4. Considérons

la

question suivante : dans quelle mesure

peut-on retrouver

l’énergie potentielle U(x) d'un champ dans

lequel une particule est animé d’un mouvement oscillatoire, la période T de ce mouvement étant une fonction connue de l’éner­ gie E. Au point de vue mathématique il s’agit de résoudre l’équation intégrale, dans laquelle U(x) est considérée comme

fonction inconnue, et

T(E) comme

fonction

connue.

5. Toute ligne

polygonale convexe est plus courte que toute

ligne polygonale

qui

l’enveloppe et

qui a

mêmes extrémités.

6. Le déplacement réel que subit le point étant normal à la

réaction normale 'N, si l’on applique

le théorème des forces vives,

le travail

de cette réaction

est

nul

et l’on a l’équation suivante.

7. La

Mécanique repose

sur

un

petit nombre de principes

qu’il est impossible de vérifier directement et auxquels on a été conduit par une longue suite d’inductions : les conséquences qu’on en déduit sont vérifiées par l’observation.

1.L’étude des oscillations entretenues en présence de frotte­ ment est tout à fait analogue à celle des oscillations sans frotte­ ment.

2.Dans la réalité, lorsqu’un corps se meut dans un milieu,

celui-ci offre une résistance

qui tend à ralentir le mouvement.

3. Une

seule

de ces

trajectoires correspond au mouvement

réel:celle

pour

laquelle l’intégrale 5 est minimum.

4. Nous allons à présent comparer non pas tous les déplace­ ments virtuels du système, mais seuls ceux vérifiant la loi de conservation de l’énergie.

5. Pour un mouvement infini tel que celui auquel nous avons affaire ici, il est commode d’utiliser, au lieu des constantes E et M la vitesse Vx de la particule à l’infini.

6. Ce caractère des interactions est inévitable en Mécanique: classique; cela découle directement des postulats fondamentaux, de celle-ci.

7. Une des notions fondamentales de la Mécanique est celle

de

point matériel. On désigne ainsi un corps dont on peut négli­

ger les dimensions

lorsqu’on

décrit son mouvement. Bien enten­

du,

cette possibilité

dépend

des conditions concrètes

de

tel

oui

tel

problème.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

8. De cette façon, le problème du mouvement de deux points

matériels qui réagissent l’un

sur l’autre se ramène à

celui

«fui

mouvement d’un

point

dans

un

champ

extérieur

donné.

et cela

 

9. Ecrivons x

sous

la forme

x —0,

au a2, ....

an,

...,

en convenant 'de préférer l’écriture sous forme de fraction déci­ male finie, complétée par des zéros.

10.La valeur absolue du quotient est le quotient exact de la valeur absolue du dividende par celle du diviseur.

11.Les règles du calcul des puissances des nombres aglébriques sont les mêmes que celles des nombres arithmétiques.

12.Si deux obliques issues d’un même point ont leurs pieds inégalement distants du pied de la perpendiculaire, elles sont

inégales et celle dont le pied est le plus éloigné du pied de la perpendiculaire est la plus longue.

13.L’aire d’un parallélogramme est égale à celle d’un rectangle qui a pour côtés un côté du parallélogramme et la hauteur correspondante.

14.Le centre de celles de ces forces parallèles qui ont un sens déterminé coïncide avec le centre de celles de ces forces parallè­

les qui ont le sens opposé.

15. Le nombre de variations que présente dans chaque cas le premier membre de cette équation est égal à celui de ses racines positives.

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