книги из ГПНТБ / Трудности перевода с французского языка (на материале математической лексики)
..pdf31. Au lieu d’écrire successivement les termes |
«o, |
«2, |
..., |
de la suite des valeurs approchées, on se borne à |
écrire |
l’un |
de |
ces termes un en prenant n suffisamment grand. |
|
|
|
32. Il peut arriver que toutes les conditions d’équilibre soient remplies, sauf celles qui sont relatives aux sens des tensions par rapport aux côtés; alors certains côtés sont comprimés au lieu
d’être tendus et l’équilibre ne subsiste pas. |
en fonction |
de |
|
33. Si au lieu d’être définie par la valeur de z |
|||
x et y, la surface est donnée par les trois équations |
|
|
|
x=f(u, v), y = <?(u, v), 2 = '|>(И, v), |
|
|
|
и et v étant des paramètres arbitraire, l’équation |
du |
plan tan |
|
gent sera ... |
sont |
loin |
de |
34. Cependant toutes les intégrales premières |
jouer un rôle d’égale importance en Mécanique. 11 en est parmi elles dont la constance a une origine très profonde, liée aux propriétés fondamentales de l’espace et du temps, c’est-à-dire à leur uniformité et à leur isotropie.
35. Lorsque la désintégration d’une particule donne plus de deux composantes, les lois de conservation de l’impulsion et de l’énergie laissent évidemment beaucoup plus d’arbitraire aux vitesses et directions , des particules nées de la désintégration. En particulier, l’énergie de ces particules dans le système «c» est loin d’avoir une valeur unique, Il existe, cependant, une limite supérieure à l’énergie cinétique que chaque particule peut emporter avec elle.
INFINITIF —COMPLÉMENT DE DIFFÉRENTS VERBES
1. Soit à calculer la longueur d’un arc de 48° sur un cercle de 12,5 cm de rayon.
2. Ainsi, soit à calculer l’hypoténuse d’un triangle qui a pour côtés de l’angle droit 3 cm et 4 cm.
3. Il est à remarquer que la Mécanique est et avait toujours été étroitement liée avec la technique pratique.
4.Soit à évaluer la longueur de l’arc de courbe AB défini par les équations paramétriques.
5.Ces relations additives sont à considérer comme les «équa
tions approchées» déduites de l’équation «exacte» S = 0.
6.A ce nouveau point de vue nous aurions à distinguer deux sortes d’Analyse.
7.Ajoutons, quoique nous n’ayons pas à nous en servir, une
propriété caractéristique |
des ensembles parfaits de translation: |
||||
ce sont |
les |
ensembles |
parfaits |
qui sont |
décomposables, d’une |
infinité |
de |
manière, en |
portions |
égales par |
translation. |
8. Ce que nous venons de dire des nombres 0 montre que la condition est nécessaire. Nous avons donc à montrer qu’elle est suffisante.
9. |
Nous |
n’aurons |
à user que d’un tout petit |
nombre |
de lois. |
|||
10. |
Dans |
le cas |
d’un |
corps |
homogène, |
on |
pourra |
toujours |
commencer par effectuer l’une des trois intégrations. |
|
|||||||
11. |
Dans |
la pratique, |
pour |
rectifier une |
courbe, c’est-à-dire |
pour calculer sa longueur, on commence par calculer son élément linéaire.
12.Deux infiniments petits sont dits de même ordre quand leur rapport tend vers une limite finie et non nulle, ou, plus généralement, finit par rester compris, en valeur absolue, entre deux nombres fixes et positifs. Deux fonctions sont dites équiva- lentes si leur rapport tend vers 1.
13.Etant donné un nombre positif e qu’on peut choisir aussi petit qu’on le veut, on peut lui faire correspondre un nombre
naturel N tel que |
l’inégalité |
n^>N |
entraîne la |
suivante |
IUn— Ul<e. Autrement |
dit, si petit que |
soit e, Un finit |
toujours |
|
par rester compris entre U — e et |
U + в. |
|
|
14.Nous ne chercherons pas à donner une définition du mot «ensemble»; il nous paraît qu’il y a là une notion suffisamment primitive.
15.Le but des quelques pages qui vont suivre est précisément de chercher à donner à la notion d’ensemble la précision qui est.
nécessaire pour qu’on puisse l'utiliser dans les recherches rigou reuses.
16. Le plus simple des polygones réguliers étant le triangle équilatéral, posons n = 3 et cherchons à déterminer les polygo nes pouvant être associés avec ce triangle.
17.Lorsque, nous saurons intégrer les fonctions \|з qui ne pren nent que les valeurs 0 et 1, nous en déduirons, grâce aux condi tions 3 et S, les intégrales des <p(X) et Ф(х), lesquelles compren nent l’intégrale de f(x).
18.Etant donné un ensemble, si nous savons démontrer que, lorsqu’on supprime un nombre fini quelconque d’éléments, il en reste au moins un, nous pourrons affirmer que l’ensemble ren
ferme une infinité d’éléments et, par suite, qu’il en reste une infinité.
19. Tous les corps abandonnés à eux-mêmes tombent vers le sol; on donne le nom de pesanteur à la cause qui les fait tomber.
20. Cette application du théorème complété fait bien comp rendre tout l’usage qu’on en peut faire dans la théorie des fon ctions.
21. Les conditions 5 et 5 ' constituent ce qu’on peut appeler
la condition de similitude, |
elles fontconnaître ce que devient une |
||||
intégrale |
par |
les |
transformations x x— kx, f x(x) = kf(x). |
||
22. |
Si |
l’on |
fait |
varier |
la direction Op d’une manière arbi |
traire, |
le |
lieu |
du centre ю des forces parallèles рь est un plan |
||
qui se nomme, |
d’après Môbius, plan central. |
1.Tout ensemble de nombres et de lettres reliés par des sig nes indiquant des opérations à effectuer forme une expression algébrique.
2.Voici la question à résoudre.
3.L’intérêt que présente cet exercice est de montrer que l’intégrale peut avoir un sens, la fonction positive à intégrer ne tendant pas vers zéro.
4.Le théorème à démontrer revient donc à ceci.
5.Etant donné un parfait E, existe-t-il ou non des séries tri-
gonométriques |
arbitrairement |
rares ou |
lacunaires (dans |
un sens |
à définir) dont |
la somme soit |
nulle |
sur E sans être |
partout |
nulle?
6. Il ne rentre pas dans le cadre de cet Ouvrage d’aborder ce ■côté de la question. Nous allons seulement passer en revue les différents types de fonctions qu’on sait intégrer par les fonctions
'élémentaires, en indiquant |
pour chacun |
d’eux la |
méthode à |
.suivre pour effectuer la quadrature. |
évaluer |
ne peut être |
|
7. Il arrive même que |
la grandeur à |
définie d’une manière précise que par le moyen d’une ou plusi eurs intégrales.
INFINITIF-SUJET
1. Faire varier un même nombre de fois toutes les coordon nées des particules, c’est passer de certaines trajectoires à d’aut res, géométriquement semblables aux premières et n’en différant
que par leurs dimensions linéaires. Nous sommes |
amenés ainsi |
||
à la conclusion suivante. |
ses racines. |
||
2. |
Résoudre une |
équation, c’est calculer toutes |
|
3. |
Si le nombre |
des éléments est fini, donner |
un ensemble, |
c’est |
donner tous ses éléments, sans en excepter un seul. |
||
4. |
Retrancher (a\+bii) de (a2+ b2i), c’est trouver (a + bi) tel |
||
que l’on ait (a2+ b2i) = (al+ bli) + (a + bi) = (ai+a) + (bl + bi). |
|||
5. Dire que y-+l lorsque x->x° revient alors à dire qu’étant |
|||
donné un nombre e> 0 il est possible de déterminer un nombre |
|||
q > 0 |
tel que les conditions (1) et (2) entraînent |y—/|<e. |
||
|
|
PARTICIPE PASSÉ |
|
1. Les oscillations normales d’une molécule peuvent être clas sées suivant le caractère du mouvement des atomes, en vertu de
considérations liées à la symétrie |
de répartition des atomes dans |
||
la molécule (position d’équilibre). |
jusqu’aux termes de l’ordre |
||
2. En résolvant cette équation |
|||
de h2 nous |
obtenons les valeurs limites |
des e cherchées. |
|
3. L’une |
des applications les |
plus |
importantes des formules |
que nous avons obtenues ci-dessus est la diffusion des particules chargées dans un champ coulombien.
4. Il existe un type de mouvement extrêmement répandu en mécanique: ce sont les petites oscillations effectuées par un système au voisinage de sa position d’équilibre stable. Nous abor derons l’étude de ces mouvement avec le cas le plus simple: celui d’un système à un seul degré de liberté.
5. Considérons un système de points matériels réagissant les
uns sur les autres, mais isolés de tout corps |
étranger; |
on |
dit |
d’un tel système qu’il est fermé. |
|
points |
|
6. La sphère est la surface courbe formée par tous les |
|||
qui sont à une même distance, appelée rayon, |
d’un point |
qui |
est |
le centre de la sphère.
7. Une zone est une portion de la surface de la sphère com prise entre deux plans sécants parallèles.
8. Deux forces parallèles et de sens contraire appliquées à un solide ont une résultante égale à leur différence.
9. L’accélération communiquée à un corps par une force don
née est directement proportionnelle |
à la grandeur de cette force |
et inversement proportionnelle à la |
masse du corps; la direction |
de l’accélération coïncide avec celle de la force.
10. Une somme ne change pas si l’on remplace plusieurs ter mes par leur somme effectuée.
PARTICIPE PRÉSENT
1.Tout segment joignant deux sommets non consécutifs d'un1 polygone est une diagonale.
2.Tout angle ayant son sommet au centre d’un polygone et
dont les côtés passent par deux sommets consécutifs est appelé angle au centre du polygone.
3. Pour que cette définition s’applique, il faut d’abord qu’il existe une fonction continue F(x) vérifiant la formule (1). Ceci revient dans les deux cas traités par Cauchy et Dirichlet, à sup
poser l’existence des limites |
qui ont servi dans la définition. |
|
4. Si l’on regarde U et V |
comme |
les coordonnées rectangulai |
res d’un point d’un plan, ces |
courbes |
sont des paraboles quelcon |
ques ayant pour directrice l’axe des V.
5. Une grandeur géométrique, ou vecteur, est une droite limi
tée A\Bi ayant une origine A, et |
une |
extrémité Bt. |
|
6. |
On verra que Af2, Af3, A/4, O sont dans un même plan, qui |
||
n’est autre que P (c’est-à-dire le plan), comme ayant en commun |
|||
avec lui les trois points O, M2, Af3, ..., |
et ainsi de suite. |
||
|
PROPOSITIONS PARTICIPES (CONSTRUCTION ABSOLUE) |
||
1. |
On appelle les nombres |
e |
et 0 coordonnées polaires du |
point Al (dans le système donné), le nombre e étant considéré comme première coordonnée ou rayon polaire, le nombre 0 comme deuxième coordonnée ou angV polaire.
2.Dans de nombreux problèmes l’équation de la courbe joue Un rôle fondamental, la courbe elle-même étant considérée comme une chose secondaire.
3.Le nombre des degrés de liberté vibratoires d’une molécule
linéaire étant 3n—5, on aura 2n—4 oscillations pour lesquelles les atomes sortiront de la droite.
4.La fonction de Lagrange du solide s’obtient en retranchant l’énergie potentielle de (32,3).
5.On obtient ainsi aussi bien l’expression de la section de diffusion du faisceau incident (x exprimé en fonction de 0t) que
celle des particules initialement au repos (x exprimé en fonction
de 02) .
6. L’homogénéité de l’espace donne lieu à une autre loi de conservation. Du fait de cette homogénéité, les propriétés méca niques d’un système fermé ne changent pas lors d’un déplace
ment parallèle du système entier dans l’espace. On désigne |
sous |
le nom de déplacement parallèle une transformation dans |
la |
quelle tous les points du système se déplacent d’un même seg ment; autrement dit, leurs rayons vecteurs r0->ra+ e. La varia tion de la fonction L pour une variation infiniment petite des coordonnées (les vitesses des particules étant constantes) est donnée par
a a
la sommation étant effectuée pour tous les points matériels du système, e étant arbitraire, la condition ôL = 0 est équivalente à la condition
n
7. Pour que la trajectoire soit fermée, il faut et il suffit que cet angle soit une fraction rationnelle de 2л- c’est-à-dire ait la forme Д«р = 2лт/п, m et n étant des nombres entiers.
8. Lorsque cette condition est remplie, les deux circonférences se coupant en deux points, il en résulte une ambiguïté fâcheuse.
9. Les expressions de la forme-^-,Л et B étant deux expres
sions algébriques, s’appellent fractions algébriques. |
un |
|||
10. |
Quand la |
construction d’un triangle en |
connaissant |
|
côté et |
les angles |
A et C adjancents à ce côté |
est possible, |
elle |
ne l’est que d’une manière. On en conclut le premier cas d’éga lité des triangles.
11. L’aire totale d’un prisme droit s’obtient en ajoutant au double de l’aire d’une base, l’aire d’un rectangle ayant pour lon gueurs de ses côtés le périmètre de la base du prisme et la hau teur du prisme.
12. L’échelle d’un dessin représentant un objet est une fra ction, dont le numérateur est la mesure de la longueur du seg
ment dessiné et le dénominateur la mesure de |
la longueur du |
||||
segment réel, les deux segments |
étant |
mesurés |
avec |
la |
même |
unité. |
|
|
poids |
de |
l’unité |
13. On appelle poids spécifique d’un corps le |
|||||
de volume de ce corps. Le poids |
d’un |
corps est |
égal |
au |
produit |
de son poids spécifique par son volume, les poids et les volumes étant exprimés en unités correspondantes.
14. |
Le cercle étant partagé en 8 parties égales, si on joint les |
|||||
points |
de |
division |
de |
3 en 3, |
on obtient l’octogone étoilé. |
|
15. |
Le |
volume |
du |
cylindre |
droit s’obtient |
en multipliant la |
surface |
de |
la base |
par la hauteur. On a V = nR2h. |
|||
16. |
Le système des axes mobiles étant animé d’un mouvement |
|||||
de translation, la |
rotation instantanée de ce |
système est nulle. |
17.Le moment résultant ayant une longueur constante, la distance du plan tangent en m au centre Q est constante.
18.Le XIX siècle se caractérise par le développement le plus fructueux de la Mécanique, les savants russes y apportant une contribution considérable.
19.La multiplication est une opération qui a pour but, étant donné deux nombres, l’un appelé multiplicande, l’autre multipli cateur, d’en former un troisième appelé produit qui soit la somme d’autant de nombres égaux au multiplicande qu’il y a d’unités au multiplicateur.
20.Le théorème suivant permet de calculer X et Y, les points Mt et M2 étant donnés.
21. Si l’on-suppose le z de la surface développé en série par la formule de Maclaurin pour de petites valeurs de x et y, on a,
pour l’équation de la surface, z = ^- + 4 - + q>(x, y), les termes
composant ц>(х, y) étant du troisième ordre au moins en x et y, p et q désignant les deux rayons de courbure principaux de la
surface en 0. Le point matériel étant pesant, |
il y a |
une |
fonction |
|
de force U = —gz. |
d’abord |
V2 = 2 gz + h, |
||
22. |
Le théorème des forces vives donne |
|||
en prenant l’axe des z dirigé vers le bas. |
|
|
|
|
23. |
Quand la surface est homogène, p est |
constant, |
la masse |
|
M est |
pS, S désignant l’aire de la surface, et |
l’on a ... |
|
24.Imprimons au point M un déplacement virtuel qui s’effec tue sur la surface S, c’est-à-dire qui est obtenu en laissant t con stant.
25.Une fois les impulsion p remplacées par leurs valeurs constantes données, les équations (46,7) se réduisent à des équa tions contenant seulement les coordonnées, de sorte que les coor données cycliques disparaissent complètement.
26.Une fois le mouvement connu, pour avoir la réaction, il
suffira de tirer ... d’une |
quelconque des |
équations |
du |
mouve |
||||
ment. |
|
|
x, |
y, г |
en |
fonction de |
||
|
27. Pour obtenir les équations donnant |
|||||||
t, |
il |
faudra éliminer ... |
entre ces équations |
(2), |
ce |
qui |
donne |
|
deux |
équations. Une fois |
le mouvement connu, la valeur |
de .. . |
|||||
et, |
par suite, fa grandeur |
de la réaction normale sera |
fournie par |
une quelconque des équations (2) ou par une combinaison de ces équations.
28. Une fois le cylindre en mouvement, on admet que, s’il y a roulement, la réaction du plan s’opposant au roulement atteint constamment son maximum, de sorte que, pendant le roulement, le couple représentant le frottement de roulement est égal con stamment à Nb, N désignant la composante normale de la réaction du plan de même que, s’il y a glissement, la composante
tengentielle F de la réaction |
est constamment |
égale à Nf. |
||||
29. |
Ceci posé, imaginons |
qu’on ait |
marqué |
sur l’axe |
tous les |
|
points |
dont l’abscisse est de |
la forme |
na, n |
|
étant un |
nombre |
entier.
30.Ceci posé, les lignes de la surface, représentées par l’équa tion (45,2), sont telles qu’en un point quelconque de chacune d’elles le plan tangent est le même.
31.Etant donné que l’ellipse est symétrique par rapport à chacun des axes de coordonnées, il suffit de prendre en consi dération la portion d’ellipse qui est située dans le premier qua drant.
32.Etant donné que la fonction de Lagrange est indépendante
de r, nous avons |
= 0, et les équations de Lagrange prennent |
la forme ...
33.Etant donné un triangle, il existe toujours un cercle pas sant par les trois sommets de ce triangle. Ce cercle est le cercle circonscrit au triangle.
34.Etant donné un polygone gauche fermé P, on dirige, sui vant les côtés de ce polygone, dans un même sens de circulation,
des forces égales aux côtés.
35. Nous venons de voir qu’étant donnée une fonction conti
nue, il |
existé toujours une |
fonction continue ayant f(x) pour |
||
dérivée; |
on |
sait |
d’ailleurs |
que toutes les fonctions continues |
ayant même |
dérivée |
ne diffèrent que par une constante. |
|
|
|
|
PRONOM IMPERSONNEL |
|
||
1. Il est évident que la multiplication de la fonction de La |
|||||||
grange |
d’un |
système mécanique |
par une |
constante arbitraire |
|||
n’influe |
pas |
par elle-même sur les équations du mouvement. |
|||||
2. |
Par |
un |
point il ne passe qu’une perpendiculaire |
à une droite. |
|||
3. |
Il |
a |
été convenu de choisir, |
comme |
unités de |
volume, les |
volumes des cubes dont la longueur d’arête est le mètre ou un multiple ou un sous-multiple du mètre.
4.Il existe, pour les triangles rectangles, les cas de construc tion et d’égalité suivants.
5.Dans une force, il convient de distinguer : le point d’appli cation, la direction et la grandeur ou intensité.
6. Par deux points, il passe toujours une droite |
et |
il |
n’en |
passe qu’une. |
|
|
|
7. La notion de forces concentrées est conventionnelle puisque, |
|||
pratiquement, il est impossible d’appliquer une force |
à |
un |
corps |
en un seul point. |
|
|
|
8.La règle de l’addition des nombres décimaux est la même que celle des nombres entiers. 11 suffit de placer, dans la somme obtenue, la virgule à son rang.
9.Il ne peut pas se faire qu’il y ait à la fois dans la première classe un nombre A plus grand que tous les autres nombres de cette classe.
10.Parmi les propositions il s’en trouve que l’on admet comme évidente sans démonstration.
11. Il peut arriver qu’il n’y |
ait pas d’objet appartenant à la |
|
fois à tous les ensembles d’une |
famille |
considérée. |
12. Il est d’ailleurs facile de |
calculer |
cette dérivée, lorsqu’on |
a établi son existence. |
|
|
13.Il est souvent fort pénible de reconnaître si une quadra ture peut ou non se ramener aux fonctions élémentaires.
14.Il est inutile de recourir à la formule de Green et nous
allons donner une autre démonstration qui s’étend |
plus facile |
ment à un nombre quelconque de variables. |
un théorème |
15. Pour faire cette théorie, il convient d’établir |
|
dû à M. Vitali. |
|
PRONOM RELATIF («DONT») |
|
1.Puisque pour un mouvement plan il y a en tout 2n degrés de liberté, dont deux de translation et un de rotation, le nombre des oscillations normales qui laissent les atomes dans le plan est égal à 2n — 3.
2.Les coordonnées r et r' d’un même point dans deux systè mes de référence différents K et K' dont le deuxième se déplace par rapport au premier avec une vitesse V, sont liées par la re lation r = r + Vt.
le |
3. Nous appellerons vecteur de rotation infiniment petit ôcp |
|
vecteur dont la valeur absolue est égale à l’angle de rotation |
||
et |
dont |
la direction coïncide avec l’axe de rotation (de telle sorte |
que par |
rapport à la direction de ôcp, la rotation s’effectue suivant |
|
la |
règle |
du tire-bouchon). |
4. La longueur d’un cercle est égale au produit de son dia
mètre par le nombre n dont |
la valeur approchée est 3,141. |
|
5. Soit un arc AB dont nous savons la mesure en degrés; cet |
||
arc n’est connu que si nous |
donnons également Je _ . rayon |
jdu. |
cercle sur lequel il est tracé. |
r. . , ' - T C . г. |
' |
|
2 З а ка з 219. |
[ |
..-m* i H« <[y |
|
f |
оЛдг* * r Ллк |
; читая^нО' j
6.On appelle angle au centre un angle dont le sommet est situé au centre d’un cercle. Tout angle au centre découpe un arc sur le cercle.
7.Les ensembles dont les deux mesures extérieure et inté rieure sont égales, sont dits mesurables.
8.Il est évident que si l’on réunit une infinité dénombrable d’ensembles dont chacun a la puissance du continu, l’ensemble ainsi obtenu a aussi la puissance du continu.
9.Considérons maintenant l’ensemble E, constitué par les
points dont la distance à £ ne dépasse pas p; autrement dit, la réunion des segments de longueur 2p dont les milieux appartien nent à E.
10. Cauchy énonce d’une manière très précise la définition dont on vient de voir deux applications.
PRONOMS RELATIFS (OUTRE «DONT.)
1. Nous savons que le moment cinétique d’un système dépend du choix du point par rapport auquel il est défini. En mécanique du solide, le plus rationnel est de choisir ce point à l’origine du système de coordonnées fixe, c. à d. au centre d'inertie du corps.
2. Considérons maintenant les oscillations dans un système soumis à l’action d’un champ extérieur variable; on les appelle
oscillations forcées, à la |
différence des |
oscillations |
dites |
libres |
que nous avons étudiées |
au paragraphe |
précédent. |
Les |
oscil |
lations étant toujours supposées petites, cela sous-entend que le champ extérieur doit être suffisamment faible, sans quoi il pour rait provoquer un déplacement x trop grand.
3. Lorsque l’on étudie les propriétés mécaniques d’un système
fermé, il est naturel |
d’utiliser pour système de référence celui |
dans lequel son centre |
d’inertie est au repos. On se débarrasse |
par là même du mouvement rectiligne et uniforme du système
dans son ensemble, qui, |
en l’espèce, ne présente pas d’intérêt. |
|
4. Considérons |
la |
question suivante : dans quelle mesure |
peut-on retrouver |
l’énergie potentielle U(x) d'un champ dans |
lequel une particule est animé d’un mouvement oscillatoire, la période T de ce mouvement étant une fonction connue de l’éner gie E. Au point de vue mathématique il s’agit de résoudre l’équation intégrale, dans laquelle U(x) est considérée comme
fonction inconnue, et |
T(E) comme |
fonction |
connue. |
|
5. Toute ligne |
polygonale convexe est plus courte que toute |
|||
ligne polygonale |
qui |
l’enveloppe et |
qui a |
mêmes extrémités. |
6. Le déplacement réel que subit le point étant normal à la
réaction normale 'N, si l’on applique |
le théorème des forces vives, |
|||
le travail |
de cette réaction |
est |
nul |
et l’on a l’équation suivante. |
7. La |
Mécanique repose |
sur |
un |
petit nombre de principes |
qu’il est impossible de vérifier directement et auxquels on a été conduit par une longue suite d’inductions : les conséquences qu’on en déduit sont vérifiées par l’observation.
1.L’étude des oscillations entretenues en présence de frotte ment est tout à fait analogue à celle des oscillations sans frotte ment.
2.Dans la réalité, lorsqu’un corps se meut dans un milieu,
celui-ci offre une résistance |
qui tend à ralentir le mouvement. |
||
3. Une |
seule |
de ces |
trajectoires correspond au mouvement |
réel:celle |
pour |
laquelle l’intégrale 5 est minimum. |
4. Nous allons à présent comparer non pas tous les déplace ments virtuels du système, mais seuls ceux vérifiant la loi de conservation de l’énergie.
5. Pour un mouvement infini tel que celui auquel nous avons affaire ici, il est commode d’utiliser, au lieu des constantes E et M la vitesse Vx de la particule à l’infini.
6. Ce caractère des interactions est inévitable en Mécanique: classique; cela découle directement des postulats fondamentaux, de celle-ci.
7. Une des notions fondamentales de la Mécanique est celle
de |
point matériel. On désigne ainsi un corps dont on peut négli |
||||||||||
ger les dimensions |
lorsqu’on |
décrit son mouvement. Bien enten |
|||||||||
du, |
cette possibilité |
dépend |
des conditions concrètes |
de |
tel |
oui |
|||||
tel |
problème. |
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
8. De cette façon, le problème du mouvement de deux points |
||||||||||
matériels qui réagissent l’un |
sur l’autre se ramène à |
celui |
«fui |
||||||||
mouvement d’un |
point |
dans |
un |
champ |
extérieur |
donné. |
et cela |
||||
|
9. Ecrivons x |
sous |
la forme |
x —0, |
au a2, .... |
an, |
..., |
en convenant 'de préférer l’écriture sous forme de fraction déci male finie, complétée par des zéros.
10.La valeur absolue du quotient est le quotient exact de la valeur absolue du dividende par celle du diviseur.
11.Les règles du calcul des puissances des nombres aglébriques sont les mêmes que celles des nombres arithmétiques.
12.Si deux obliques issues d’un même point ont leurs pieds inégalement distants du pied de la perpendiculaire, elles sont
inégales et celle dont le pied est le plus éloigné du pied de la perpendiculaire est la plus longue.
13.L’aire d’un parallélogramme est égale à celle d’un rectangle qui a pour côtés un côté du parallélogramme et la hauteur correspondante.
14.Le centre de celles de ces forces parallèles qui ont un sens déterminé coïncide avec le centre de celles de ces forces parallè
les qui ont le sens opposé.
15. Le nombre de variations que présente dans chaque cas le premier membre de cette équation est égal à celui de ses racines positives.